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Voici le site ou vous verrez toutes les figs EDEN: http://www.taban-miniatures.com/indexfr.html

Etant donné le nouvel engouement pour ce jeu je mets la dernière news en date....
J'en connais 2 qui sont gatés

Ngozi



Fatalement, Ngozi, à cause de sa taille et de la faiblesse de ses muscles, ne pouvait pas rejoindre la fratrie de Sabaka Pied-Lourd. Fasciné depuis sa plus tendre enfance par la puissance du Chaka des Gardiens et de sa force démesurée, il a toujours rêvé de faire partie de l’élite des combattants du clan Bamaka.

Et puis vint le jour de la Révélation. Depuis plusieurs jours les chasseurs et les gardiens du clan étaient partis pour le rite du grand sacrifice de la Chasse. Lors d’une nuit où la lune était claire, ceux du clan qui étaient resté campaient à proximité d’un bois sombre. Les esprit de la nuit vagabondait parmi les branches mortes et les vapeurs blanchâtres des sous-bois. Ngozi s’était éloigné discrètement du campement pour s’entrainer à la lance. Au détour d’une grande souche, noire comme le sang des esprits maléfiques, il vit soudain briller deux yeux jaunes. Il se figea instantanément, pétrifié par grâce mortelle d’une panthère. Puis soudain, il entendit un râle de souffrance et deux yeux brillants supplémentaires apparurent aux côtés des deux premiers. Il mit un certain temps avant de comprendre que les deux têtes appartenait à la même bête, et que celle-ci souffrait terriblement de sa difformité. Des lambeaux de chairs pendaient de son crâne et la douleur la rendait visiblement folle. Alors la peur s’évapora et, tout doucement, Ngozi s’approcha pour la calmer et la soigner. Il sentit au plus profond de lui que l’esprit de la panthère lui parlait, et qu’il pouvait lui répondre…

Depuis cette révélation Ngozi a rejoint la fratrie des Bergers. Il sait parler au prédateurs qui ont des griffes. Et ce don lui a apporté le respect du clan. La férocité de sa panthère alliée à son agilité font de lui un adversaire redouté et un chasseur exceptionnel. Insaisissable et mortel, tel est Ngozi, notre frère de sang !

Gombélé Main-Serrée à la fin du rite initiatique de Ngozi Souffre-Court.

Je sens encore un achat poindre son nez!

« Ne frappe pas pour vaincre, frappe après avoir vaincu. »

- Bishamonten, Kami Protecteur -

Type : Blue

Taille / Poids : 1,80 m ; 220 kg

Armement : Katana + Tanto

Autonomie : 600 jours

Date de mise en service : Année 2 de l’avènement de l’Ordre Céleste.



Durant l’ancien temps, les généraux avaient l’habitude de jouer au Shogi. Ce jeu, inspiré des Arts de la Guerre, leur permettait de garder l’esprit affuté malgré les longues périodes de paix.

Pour gagner une partie de Shogi, il faut pouvoir éliminer les pions de l’adversaire, mais aussi savoir protéger les siens. Parmi toutes les pièces qui constituent le jeu, ce rôle de protecteur est celui des fuhyo ou piétons.

Si l’on devait faire un parallèle avec les armées de cette époque, ce rôle était également celui dévolu aux Ashigaru. En effet, ces « pieds légers » constituaient la presque totalité des troupes piétonnes, et le tampon nécessaire à la sauvegarde d’unités de plus grande valeur.

Aujourd’hui, la guerre a revêtu un tout autre visage mais ce concept simple, consistant à assurer la protection et la survie des éléments clés de son dispositif militaire, reste pourtant inchangé. C’est donc tout naturellement que les drones de type « Blue » virent le jour. Et c’est tout aussi naturellement que les Ashigaru reprirent du service.

Véritable garde du corps des drones stratégiques, l’élaboration de ce modèle fut entièrement tournée vers sa mission.

La première qualité d’un yojimbo (garde du corps) est de prévenir le danger qui menace son protégé. Afin de répondre à ce critère, l’Ashigaru a été équipé de senseurs extrêmement développés et d’un réseau câblé ultra-rapide. Ainsi, il peut détecter tout danger au plus tôt et y répondre dans les meilleurs délais.

La deuxième qualité d’un yojimbo est de savoir parer les attaques visant son protégé. Pour s’acquitter de cette seconde tâche, l’Ashigaru reçut un protocole de combat basé sur les techniques de sabre dites des « lames croisées ». Ce style de combat lui conférant un potentiel défensif élevé. La conjugaison de ce protocole et de ces systèmes sensoriels et d’analyse, lui permet de communiquer des informations tactiques aux autres drones et ainsi d’améliorer de façon significative leur capacité à se protéger.

Enfin, la dernière qualité d’un yojimbo est d’être capable d’éliminer tout agresseur prenant pour cible son protégé. En réalité, la réponse à ce problème ne fut qu’une conséquence de ses deux premiers systèmes. Ainsi, les réflexes éclairs de ce drone, alliés à son protocole de combat, lui permettent de délivrer des contre-attaques aussi fulgurantes que fatales.

Les gangers ne semblaient pas vouloir bouger de leurs positions. Ils paraissaient nombreux et bien armés.


La chanoinesse de l'ordre rouge évalua rapidement les forces en présence. Une diaconesse approcha avec hésitation.
- Que fait-on, dame chanoinesse ?
- Ils sont trop nombreux pour un assaut en masse. Envoyez le berserk.
- Dame chanoinesse, avec tout le respect que je vous dois, les grands principes édictés par la Grande Mère de notre Ordre ne conseillent d’utiliser le berserk qu’en cas de grand danger.
- Le berserk, répéta la chanoinesse en tournant les yeux vers sa subalterne, sa main se crispant ostensiblement sur la poignée de sa masse d’arme.

La diaconesse se courba respectueusement, le visage blanchi par la peur. Elle recula doucement, la tête toujours baissée, se gardant de répondre. Puis elle tourna les talons et se dirigea en courant vers l’arrière du détachement.

Quelques secondes plus tard, une forme colossale avança pesamment vers les lignes ennemies. Mesurant près de deux mètres, il devait peser plus de 300 livres. D’un abord adipeux, on se rendait compte qu’il possédait une solide ossature et une énorme musculature. Il portait un pagne, et à ses bras était fixés deux morceaux de poutrelles. Un casque masquait son visage. Trois novices le retenaient tant bien que mal en tirant sur une corde accrochée à son cou. Une abbesse s’approcha de lui, en lui murmurant quelque chose, puis elle montra du doigt les gangers, se recula et lui assena un violent coup de fouet.

Le berserk hurla de douleur et de frustration et se rua sur les gangers. Les novices furent propulsées en avant mais la violence du démarrage cassa net la laisse.
Les rares projectiles lancés contre l’esclave n’eurent aucun effet. Il arriva en hurlant sur les gangers, les percutant et les embrochant de des bras blindés.
Tout fut fini en quelques secondes. Les survivants s’enfuirent devant l’ampleur du carnage. Les novices qui retournèrent chercher le berserk le trouvèrent affalé par terre, saignant abondamment de multiples blessures et épuisé par son assaut. Une des novices secoua la tête presque affectueusement. Ces berserks étaient vraiment forts, celui-ci respirait encore lourdement et survivrait très probablement.

La chanoinesse ordonna quelques minutes plus tard le départ du détachement, en prenant bien soin de fusiller du regard la diaconesse qui avait osée remettre en question ses ordres.

Des nuages grisâtres occultaient presque la timide lumière du soleil matinal. Les ombres inquiétantes des ruines d’une ancienne cité s’adoucissaient dans le scintillement orangé de l’aurore. Les oiseaux se réveillaient et leurs pépiements commençaient à perturber le calme oppressant qui s’installe à chaque fois que la nuit fait place au jour.


Un sifflement strident trancha soudain l’air et un oiseau brun s’écroula du vieux pylône rouillé qui lui servait de perchoir. Mark apparu alors, comme un fantôme, et se dirigea à grand pas vers sa proie transpercée d’une flèche noire. Son visage était dissimulé derrière un masque inquiétant, son pardessus marron flottait derrière lui et il tenait encore fermement son arc. Au moment où il refermait la main sur la flèche quelque chose le mit en alerte. Il tourna vivement la tête vers le centre des ruines, attentif. Il entendait ce que peu de monde pouvait entendre : le danger. Rapidement il enveloppa l’oiseau dans un vieux tissu qu’il gardait dans son manteau, il fourra le tout dans une de ses nombreuses poches et, tout en rangeant sa flèche dans le carquois qui pendait à sa ceinture, il dégaina une vieille paire de jumelles.


En quelques pas il atteignit le sommet d’un ancien mur à moitié écroulé. Prestement il fit le point sur un groupe de pillards crasseux qui maraudaient. Ils étaient bien armés et semblaient organisés. Ses yeux, d’habitude éteints, s’éveillèrent soudain quand il comprit qu’ils se dirigeaient vers la position approximative du campement. Le Convoi était en danger ! Mark bondit, et, en quelques minutes, il disparut aussi silencieusement qu’un chat. La course commençait et il vivait pour elle. Et il vivait pour protéger ceux de son clan qui parcouraient inlassablement les terres dévastées. Et c’est exactement ce qu’il comptait faire…

Ces sorties me ravissent!!
L'ashigaru est top et les mec sur le fofo eden on lachés son profil!! Il est énorme je trouve!

Quand a Mark pour le convois c'est exactement ce que j'attendais! Je voulais un tireur mais le gars au bomrang ne me plait pas. Par contre obligé de virer le chien chien aussi pour le rentrer dans la bande

Le site eden-thegame.com a été mis à jour, toutes les photos, tout les profils
Dont les dernières nouveautée!!