Le bureau

oki

je m'occupe de celle de sacoche et porte sacoche j en ai une trop bien avec des zombie et des vampire et de l'oenologie, des debat théologique trop la classe

Tu me feras lire ça avant toute diffusion sur le codex ! j'ai droit de mettre des conneries moi aussi étant donné que cette histoire me concerne

OH !!

Alors ce retour au québec ?
pas trop froid ta fais du ski en plein mois de juillet

tu peut m'ecrire des petite nouvelle sur la vie du moot dimitri si tu veut aussi

et ccelle des mootlanders

quoi ?

bah il me faut des nouvelle sur la vie du moot et des petit conte epique ou presque sur les mootlanders (les membre du mootlandclan), un peu style a la kameloot ou duche c arthur il nous envoie faire des quete dans le vieux monde!

AH !

ça marche je vois ce que je peux faire

je vais faire le mienne ce soir, c une quete de sacoche et porte sacoche envoyer en qeute en tilée pour réapprovisioné en vin, et tous le long il va leur arrivée des peripethie, le but étant de depeindre le conseil des 10 fondateurs!


donc pham le maitre des chevalier du cochon d'or
fat fouch le doyen alambic
pralin l'alcoolique illuminé (ingénieur)
geo, bah je sais pas ca peut etre un cherif ou autre
petit fouch, l'apprenti je sais pas quoi
rudy, le toque d'or (sorcier)
moi euh soit cherif soit alambic (je suis fort en pinard lol)
dim pareil (sauf que lui il es fort pour les boire)
bruno, je sais pas
el duche moi je le voit bien soit en maire (donc général ou en toque d'or)
reese, en cherif ou general

j'ai oublier personne

en avant première,
DILEMME DE MORTS VIVANT UNE HISTOIRE AVEC SACOCHE ET PORTE SACOCHE

DILLEMME DE MORTS VIVANTS

Les valeureux Sacoche et Porte venait de quitter la forteresse des Mootlanders d’Agnymont, suivi de quelque cochon portant leur provision, à peine une dizaine. Le duche leur avait confié une grande mission, peut être la plus grande de toute leur carrière depuis leur arrivée dans le Mootlandclan. Certes ils étaient devenus des experts pour animer la soirée du clan, mais hormis le combat contre le furet bébé de Heintdorf, il n’avait pas réussi de grande mission héroïque, d’ailleurs contre cette belette ils avaient juste arraché un match nul.

Après une très longue journée de voyage, d’environ une heure et cinquante trois minutes. Les deux valeureux membres du clan décidèrent de faire une pause dans une ruine d’une ancienne tour de garde de l’empire. Après le débat sur le repas du soir, qui fut résolu en un papier cailloux ciseaux en cinquante et une manches, les deux convives préparèrent donc le compressé de foie gras au abricot sur son lit de confie de canard, et purent se mettre à table à la tombée de la nuit.

« Tu vois le compressé se marie bien avec le confit ? »
Lança porte sacoche en sauçant son plat
« Je n’aime pas mélanger les éléments commençant par la même lettre, c’est tout ! » rétorqua le magnifique Sacoche

Des ombres s’agitait dans l’obscurité autour de la ruine, de drôle de murmure résonnait prés de la tour.

« Tu à entendu ? »
« Entendu quoi ? Je n’aime pas écouter tes flatulences lors de mon repas du soir » annonça le puissant porte sacoche.
« Non je suis sérieux, j’ai écouté un whaaaaaaaa ! »
« Un whaaaaaa comme doubidoubidou whaaaaaaaa ? Ou un whaaaaa comme whaaaaaaa ça c’est un beau poisson ! »
« Comme un doubidoubidou whaaaaa, mais teinté d’une certaine tristesse et d’une certaine douleur »
« Triste et douloureux comme quelqu’un qui aurait sautait le gouter de quatre heure ? »
« Oui c’est ca, tu me comprend trop »

Et les deux amis se prirent dans les bras. Soudain le valeureux sacoche reçut une tape sur l’épaule suivi d’un long whaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

« Deux seconde, vous voyez pas que nous sommes en pleine expression de notre amitié ancienne mais toujours vive » rétorqua le petit mootlanders.
« Whaaaaaaa » relança l’inconnu

Les deux Mootlanders se retournèrent et se retrouvèrent en face d’une vingtaine de zombie, ils dégainèrent aussitôt leur épée.

« Ah non des morts vivants ! » lança Sacoche
« On ne dit pas morts vivants, mais non vivant qui est revenu à la vie, sinon c’est discriminatoire, c’est comme aveugle et non-voyants »
« Autant pour moi c’est vrai qu’on n’est pas la pour juger »

La bande de damné reste bouche bai, enfin pour ceux qui avait des têtes, devant un telle débit de parole sans sens, et le plus gros d’entre eux relança un puissant Whaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

« Deux seconde, la non vie ne vous donne pas le droit à l’impolitesse ! Insolent va ! Bon sacoche revenons en à nos moutons, d’après les cours d’el Duche le seul moyen de bannir un zombie, c’est de …, merde on aurait du le suivre ce cour ! »

« Il faut lui couper la phalange de l’auriculaire gauche ! »

Et la Porte sacoche sectionna la phalange du zombie le plus prés de lui. Rien ne se passa

« Non je me suis planté c’est l’oreille droite avec son épée de la main gauche»

Et la sacoche sectionna l’oreille du zombie avec son épée de la main gauche, rien ne se passa

Deux heures plus tard, les morceaux de zombie s’accumulaient autour des deux mootlanders en plein débat.

« Si on essayait la jambe gauche avec le bras droit ! »
« Mais on la déjà fait ça ! »
« Ah autant pour moi, tu as raison ! »

Six heures plus tard…

« Pourquoi vous fuyez ! Vous avez peur ! »

Pourtant tous les zombies, hormis quelques membres en moins étaient tous la, mais les morts-vivants retournaient dans l’ombre de la nuit

« Maiiiitre, pourquoi les laissons nous en vie ? » retorqua le zombie
« Leur sang m’aurait rendu stupide ! » annonça le Vampire
« Pas faux mon maitre ! » lança le mort vivant

Pour le reste de la quête des deux héros, l’histoire l’a oubliée….

ce soir celle de bruno!

sois gentils, c'est ton pti frère fait lui un bisous

lol j'ai déja été méchant! non ca va être tres drole, un ptit indice, ca va etre une histoire avec du cul de chouette, de la furie elfe noir et du tank a vapeur!

on a pas le droit de juger mais on a le droit de se moquer et de plus il à le droit de me dire tu la met pas

La patrouille des Grasouill

Sacoche et Porte-sacoche s’installèrent sur la souche du platane que le père Grignott avait coupé il y a déjà plus de dix ans. Comme à chaque jours, une petite quinzaine d’enfant approchèrent dans l’espoir d’entendre à nouveau une histoire ou une anecdote des deux compères. Sacoche n’était pas vraiment d’humeur, son gratin de courgette fromage de chèvre avait brulé à midi et il avait du se contenter pour son repas du casse-croute de secours. Sacoche regarda Porte malicieusement et avança : « aujourd’hui, on va vous raconter la patrouille des Grassouill ». Porte ne comprenait pas pourquoi son ami voulait absolument compter cette histoire, mais après tout il s’en cognait la couenne. Il s’allongea sur l’herbe puis ajouta : « fais comme ça te chante, mais démerdes toi pour raconter ! »


C’est ainsi que commença « La patrouille des Grassouill ».

Midi était déjà passé de deux heures, George et Simon Grassouill, deux ado-halfeling du village de Troumont, émergèrent de leur sieste post-déjeunée. George fut le premier levé, il remit la bouteille de côte de Mirondon et le sauciflard qui trainaient dans son sac puis flanqua un pesant coup de latte dans les côtes de son jeune frère : « lèves toi ! Ramasses ton arc et ton carquois espèce de sac à gnole ! J’ai pas envie que le Toque nous fasse encore éplucher des patates parce qu’on a foiré notre mission ! En plus je suis incapable de ne pas les manger ces patates crues, c’est plus fort que moi. C’est un peu comme toi et la peau de sauciflard cuite dans du beurre aux herbes de …
- Mais bordel ! Arrêtes donc de me parler de ça, j’en ai pas mangé depuis plus de trois jours ! Ça manque tellement à mon équilibre alimentaire ! J’en tremble rien qu’à y penser !
Simon se leva à son tour, faisant mine de ne pas sentir la douleur qui lui glaçait le flanc de la cage thoracique. Il plaça son carquois dans le dos et empoigna son arc en maudissant intérieurement son connard de grand frère. Les deux chasseurs reprirent leur patrouille dans la forêt comme ils l’avaient commencé deux jours plus tôt.

La traversée de la forêt de l’Embrouille n’était pas considérée comme dangereuse, mais la tâche n’avait pas été effectuée depuis plus de trois années. Le Toque de Troumont voulait un rapport particulier de la région le plus rapidement possible : énumération des herbes et épices à usage culinaire que l’on peut trouver dans cette forêt. George et Simon s’attelèrent donc à nouveau à leur tâche principale : observation, dégustation et prise de note. Simon, apercevant une touffe d’herbe s’apparentant à de la ciboulette se précipita dessus et se mis à grignoter aussi délicatement que possible un brin d’herbe. Voyant que Simon tirait une grimace horrible, George se mis à sourire : « Tu n’aimes pas la ciboulette de l’Embrouille ?
- elle sent les pieds cette ciboulette là, c’est vraiment dégueulasse ! »

George fut saisit d’une drôle de sensation. Alors que son petit frère continuait de se plaindre sur le gout infect de cette ciboulette et cherchait à se rincer la bouche, lui commença à observer le sol et à chercher des traces, comme les Longues-vues leurs avaient appris la semaine dernière. Juste à côté de la touffe d’herbe, à la surface d’un terrier de marmotte, il vit une énorme et étrange trace de pied. Il comprit aussitôt. Il saisit une flèche dans son carquois, arma son arc et pointa la trace du bout de la flèche : « Simon ! Ferme ta gueule maintenant ! Regarde la trace, là ! »

George se retourna juste à temps vers son frère pour assister à son exécution. Dans une explosion de sang, la hache d’un Orc sauvage fendit le crâne de Simon par derrière. Le coup fut d’une telle violence que la hache se coinça au niveau des clavicules. George hurla de désespoir et sentit des larmes monter à gros flot. De rage, le monstre se débarrassa de l’arme bêtement bloquée en projetant le corps de Simon. Ce dernier alla se fracasser contre l’écorce d’un chêne situé à quelques centimètres de George. Eclaboussé du sang de son frère sous la puissance de l’impact du corps sur l’écorce, et malgré la faiblesse soudaine qui le frappa, il cibla la tête du monstre et décocha sa flèche. Elle se ficha directement dans le bras de l’Orc. La grosse brute poussa un terrible hurlement lorsque la pointe déchira ses tissus musculaires. Alors que George se dépêchait d’encocher une nouvelle flèche, l’Orc ramassa un rocher avec son bras valide pour l’envoyer aussi fort que possible sur le semi-homme. George eu à peine le temps de lever les yeux pour cibler l’Orc qu’il fut frappé à la tête. Sa vue s’obscurcie très rapidement. Le gout du sang empli sa bouche. Ses jambes vacillèrent. Il s’écroula.

Immobile au sol et sur le point de tomber inconscient sous l’effet de la douleur, il sentait, la tête écrasée au sol, les fibrations causées par les pas lourds de l’Orc se rapprocher de lui. Ca et les grognements bestiaux, il était terrorisé, il savait ce qui allait se passer, il connaissait les horribles choses dont était capable les Orcs sauvages.

Soudain, il entendit deux sifflement très proche et immédiatement après un cri de douleur atroce. L’Orc était touché ! Deux autres sifflements suivirent presque aussitôt puis l’Orc s’écroula de toute sa masse juste à côté de lui. George entrouvrit les yeux, mais il ne voyait plus très nettement. Il vit deux halflings, carreautrice au bras droit, sortir des fourrés. L’un des deux se baissa vers George, plaça son index et son majeur sur sa carotide pour se rendre compte, dans un long soupir de soulagement, qu’il était encore vivant. Le second carreauteur appela l’autre, horrifié. Par les lamentations et les pleurs des deux vétérans, il prit conscience que son frère était bien mort. George sombra alors totalement.


L’histoire terminée, les enfants se levèrent et rentrèrent chez eux en pleurant à chaudes larmes. Porte regarda son ami qui exultait presque : « t’es fier de toi ?
- Pas tant non, mais c’est plus fort que moi, quand je mange mal à midi, je suis de forte mauvaise humeur et j’avais pas envi de leur faire plaisir aujourd’hui. Et puis au moins on aura la paix pendant quelques jours, ils vont pas revenir nous demander d’histoires tout de suite !
- Mmm, ouais, c’est pas faux ! Allez vient mon poto, on va se payer une Rouss’ du Reik. Ca m’a donné soif de d’écouter parler !

Le fils prodigue!!!!!!

Géniales vos histoire de sacoche et porte sacoche!!!!

Au top !

Une suite Piero :p