Le bureau
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groniar
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Le bureau
descriptions succintes d'unités.
Seigneurs.
Les armées du mootland les plus importantes sont toujours commandés par un ancien. Selon les occasions il peut être un maire de grande ville, un doyen alambik, un toque d’or ou un maitre cochonier. Si le plus souvent c’est un maire qui dirige l’armée il peut arriver que ce soit un doyen alambik. Ces doyens sont des génies de la distillation qui arrivent à tirer un nectar si pur qu’il tuerait immédiatement tout homme qui se risquerait à le goûter. Les armées les plus pléthoriques sont souvent dirigé par un toque d’or. Ces chefs cuisiniers ont parcourus le vaste monde et sont capables de nourrir et de rendre heureux le plus acariâtre des halflings. Plus rarement une armée du mootland peut être dirigé par un maître cochonier. Les maîtres cochonier sont des cavaliers sans peur respectant à la lettre les vertus honorifiques de la chevalerie. Les simples citoyens les craignent et les respectent pour leur incroyable témérité.
Héros
A cet échelon de commandement on retrouve les chefs de villages ou les maîtres des petites communautés. Sur le champ de bataillent ils se repartissent selon leurs spécialités. Les shirifs ou chef de la police sont des halflings habitués a faire régner l’ordre, ils dirigent souvent les habitants de leur propre village de sorte que leur autorité est toute naturelle. Les alambiks eux sont les prêtres des régiments et ils s’assurent que le moral des troupes est toujours optimum à grandes rasades de l’alcool sacré. Les chefs cuistot nourrissent l’armée et accentuent par leurs manipulations culinaires les capacités martiales des simples citoyens. Les maîtres artisans enfin, s’occupent des machines de guerres, autant pour leur entretien que leur utilisation.
Unités de bases.
Le gros de l’armée du mootland est composé de simples citoyens regroupés par corps de métier ce qui assure leur cohésion. Selon leurs aptitudes ou leur métier de tous les jours, ils sont incorporés aux différents corps d’infanteries quand leurs terres sont menacées.
Coutelier.
Les couteliers rassemblent les bouchers, charcutiers et autres halflings habitués au maniement des couteaux, dagues et tranchoirs.
Les cures-dents.
Cette unité regroupe les paysans et tout ceux qui en temps de paix travaillent la terre. Ils sont armés de fourches, piques et autres framées dont ils connaissent le maniement depuis leur plus tendre enfance.
Les fourchettiers.
Ce régiment de soldats citoyens est celui qui manie les armes les plus lourdes, le plus souvent des hallebardes. Seul sont admis les plus robustes et les plus forts des halflings. Leur nom leur vient du fait que cette unité est composé des halflings ayant le meilleur coup de fourchette. Ce qui n’est pas peu dire.
Les chasseurs.
Parfois appelés flècheurs ils utilisent l’arc. Ce sont pour la plupart d’habiles artisans à la dextérité remarquable, ce sont aussi des êtres discret capables de se fondre dans les bois en un instant.
Le carreauteurs.
Recrutés au seins des chasseurs les carreauteurs sont des halflings plus expérimentés capables de manipuler efficacement l’arbalète qui n’est pas une arme naturelle pour eux.
Les longues-vues.
Recrutés parmi les carreauteurs les longues-vues sont ceux qui ont la vue la plus perçante. Ils se voient confier des arquebuses, des armes à la puissance et à la portée énormes. Cette unités citoyenne d’élite à l’habitude de faire des ravages dans le camp énemie. ils arbornet souvent des colliers fabriqués à partir d'oeil de taupe sensé leur apporter chance et précision.
Les milices villageoise.
Les milices villageoises sont composées de petits groupes agissants en soutien des unités plus importants. Ce sont des halfling pris dans toutes les couches de la population. Ils forment un ensemble disparate utilisant au besoin des arcs pour affaiblir les régiments adverses ou des sabres ouvragées pour effectuer des contres charges.
Unités spéciales.
Ce sont les unités de soldats professionnels entraînée depuis le plus jeune age au maniement des armes dans le but de protéger leur patrie.
Les chevaliers du cochon d’or.
Ces halflings sont de loin les plus téméraires de leur race, ils sont les seuls à risquer de chevaucher les énormes cochons de guerres sélectionnés par les éleveurs. Ils respectent les serments de la chevalerie et ont jurés de protéger les opprimés. Les halflings sont des créatures casanières qui ne quittent que rarement leurs terres. Mais ces chevaliers intrépides décident parfois de visiter l’empire pour apporter leur aide à quiconque en a besoin. Cela ne manque pas d’étrangler de rires les brigands qui croisent leurs chemin avant qu’ils ne se retrouvent avec une lance fichée dans la gorge.
Le mootland clan.
Cette unité est l’élite de l’armée du mootland, elle regroupe les guerriers les plus puissants, ceux ayant la plus grande expérience du combat. Ces vétérans ont la particularité de chacun combattre avec leurs armes de prédilection, que ce soit épée, hache ou marteau. Ils ont donc un équipement bigarré mais possèdent un semblant d’uniforme car ils sont tous vêtus d’une chemise noire brodée de leur nom de guerrier par dessus une lourde cote de maille. De plus ils portent souvent la cravate ou le haut de forme comme tout les halflings appartenant à l’élite.
Lance cochon.
Lance marmite.
Unités rares.
Les alambiks anonymes.
Ces unités sont composés des halflings les plus fanatiques. Ce sont de fervents disciples de l’alambik qui depuis leur prime jeunesse consomment de grandes quantités de ce breuvage sacré préparés par les bouilleurs de cru. Ce sont souvent des marginaux qui vivent depuis longtemps des offrandes et oboles de leurs concitoyens. La plupart traînent avec eux des chiens qui leur assurent la compassions des autres halflings et qui savent aussi les protéger lorsqu’ils ne sont plus conscients. La consommation excessive de cette boisson les poussent à mépriser le danger et à accueillir la mort avec insouciance. Ainsi au combat il n’et pas rare de voir en première ligne des groupes incohérents de guerriers en haillons et de chiens enragés.
Géant.
Seigneurs.
Les armées du mootland les plus importantes sont toujours commandés par un ancien. Selon les occasions il peut être un maire de grande ville, un doyen alambik, un toque d’or ou un maitre cochonier. Si le plus souvent c’est un maire qui dirige l’armée il peut arriver que ce soit un doyen alambik. Ces doyens sont des génies de la distillation qui arrivent à tirer un nectar si pur qu’il tuerait immédiatement tout homme qui se risquerait à le goûter. Les armées les plus pléthoriques sont souvent dirigé par un toque d’or. Ces chefs cuisiniers ont parcourus le vaste monde et sont capables de nourrir et de rendre heureux le plus acariâtre des halflings. Plus rarement une armée du mootland peut être dirigé par un maître cochonier. Les maîtres cochonier sont des cavaliers sans peur respectant à la lettre les vertus honorifiques de la chevalerie. Les simples citoyens les craignent et les respectent pour leur incroyable témérité.
Héros
A cet échelon de commandement on retrouve les chefs de villages ou les maîtres des petites communautés. Sur le champ de bataillent ils se repartissent selon leurs spécialités. Les shirifs ou chef de la police sont des halflings habitués a faire régner l’ordre, ils dirigent souvent les habitants de leur propre village de sorte que leur autorité est toute naturelle. Les alambiks eux sont les prêtres des régiments et ils s’assurent que le moral des troupes est toujours optimum à grandes rasades de l’alcool sacré. Les chefs cuistot nourrissent l’armée et accentuent par leurs manipulations culinaires les capacités martiales des simples citoyens. Les maîtres artisans enfin, s’occupent des machines de guerres, autant pour leur entretien que leur utilisation.
Unités de bases.
Le gros de l’armée du mootland est composé de simples citoyens regroupés par corps de métier ce qui assure leur cohésion. Selon leurs aptitudes ou leur métier de tous les jours, ils sont incorporés aux différents corps d’infanteries quand leurs terres sont menacées.
Coutelier.
Les couteliers rassemblent les bouchers, charcutiers et autres halflings habitués au maniement des couteaux, dagues et tranchoirs.
Les cures-dents.
Cette unité regroupe les paysans et tout ceux qui en temps de paix travaillent la terre. Ils sont armés de fourches, piques et autres framées dont ils connaissent le maniement depuis leur plus tendre enfance.
Les fourchettiers.
Ce régiment de soldats citoyens est celui qui manie les armes les plus lourdes, le plus souvent des hallebardes. Seul sont admis les plus robustes et les plus forts des halflings. Leur nom leur vient du fait que cette unité est composé des halflings ayant le meilleur coup de fourchette. Ce qui n’est pas peu dire.
Les chasseurs.
Parfois appelés flècheurs ils utilisent l’arc. Ce sont pour la plupart d’habiles artisans à la dextérité remarquable, ce sont aussi des êtres discret capables de se fondre dans les bois en un instant.
Le carreauteurs.
Recrutés au seins des chasseurs les carreauteurs sont des halflings plus expérimentés capables de manipuler efficacement l’arbalète qui n’est pas une arme naturelle pour eux.
Les longues-vues.
Recrutés parmi les carreauteurs les longues-vues sont ceux qui ont la vue la plus perçante. Ils se voient confier des arquebuses, des armes à la puissance et à la portée énormes. Cette unités citoyenne d’élite à l’habitude de faire des ravages dans le camp énemie. ils arbornet souvent des colliers fabriqués à partir d'oeil de taupe sensé leur apporter chance et précision.
Les milices villageoise.
Les milices villageoises sont composées de petits groupes agissants en soutien des unités plus importants. Ce sont des halfling pris dans toutes les couches de la population. Ils forment un ensemble disparate utilisant au besoin des arcs pour affaiblir les régiments adverses ou des sabres ouvragées pour effectuer des contres charges.
Unités spéciales.
Ce sont les unités de soldats professionnels entraînée depuis le plus jeune age au maniement des armes dans le but de protéger leur patrie.
Les chevaliers du cochon d’or.
Ces halflings sont de loin les plus téméraires de leur race, ils sont les seuls à risquer de chevaucher les énormes cochons de guerres sélectionnés par les éleveurs. Ils respectent les serments de la chevalerie et ont jurés de protéger les opprimés. Les halflings sont des créatures casanières qui ne quittent que rarement leurs terres. Mais ces chevaliers intrépides décident parfois de visiter l’empire pour apporter leur aide à quiconque en a besoin. Cela ne manque pas d’étrangler de rires les brigands qui croisent leurs chemin avant qu’ils ne se retrouvent avec une lance fichée dans la gorge.
Le mootland clan.
Cette unité est l’élite de l’armée du mootland, elle regroupe les guerriers les plus puissants, ceux ayant la plus grande expérience du combat. Ces vétérans ont la particularité de chacun combattre avec leurs armes de prédilection, que ce soit épée, hache ou marteau. Ils ont donc un équipement bigarré mais possèdent un semblant d’uniforme car ils sont tous vêtus d’une chemise noire brodée de leur nom de guerrier par dessus une lourde cote de maille. De plus ils portent souvent la cravate ou le haut de forme comme tout les halflings appartenant à l’élite.
Lance cochon.
Lance marmite.
Unités rares.
Les alambiks anonymes.
Ces unités sont composés des halflings les plus fanatiques. Ce sont de fervents disciples de l’alambik qui depuis leur prime jeunesse consomment de grandes quantités de ce breuvage sacré préparés par les bouilleurs de cru. Ce sont souvent des marginaux qui vivent depuis longtemps des offrandes et oboles de leurs concitoyens. La plupart traînent avec eux des chiens qui leur assurent la compassions des autres halflings et qui savent aussi les protéger lorsqu’ils ne sont plus conscients. La consommation excessive de cette boisson les poussent à mépriser le danger et à accueillir la mort avec insouciance. Ainsi au combat il n’et pas rare de voir en première ligne des groupes incohérents de guerriers en haillons et de chiens enragés.
Géant.
Dernière édition par groniar le Lun 9 Mar - 12:24, édité 3 fois
Re: Le bureau
Van Halfling et Miam
Peu de critique culinaire sont aussi craint dans le Moot que le célèbre Van halfling et son acolyte Miam. L'halfling et le géants dirige officiellement la section culinaire du Mootland Post (Section qui représente 90% du journal)
On sait relativement peu de chose au sujet du passé de Van Halfling et de son acolyte géant. Van halfling semble être un halfling, il est vêtu d'un grand manteau a col haut et d'un grand chapeau qui cache la majeur partie de son visage, seul ces yeux bleu transparaisses. Miam lui est un géants vêtu comme un cuisinier, affablé de réserve de victuailles sur tout le corps, il est armé d'une énorme fourchette et d'une énorme couteau.
Certaines rumeurs court dans les cuisines, Van Halfling serait envoyé par le saint guide Michelin, pour chasser les faux cuisiniers, ou pire ceux qui sont passé du coté de la malbouffe.
D'autres dise qu'il serait un ancien membre du Moot, qui prendrait ce déguisement pour chasser les hérétiques.
Mais en réalité on sait très peu de chose au sujet du mystérieux duo, On sait juste qu'ils parcourent les restaurants et cantines du Moot depuis des temps immémoriaux. Même les plus anciens du Moot ont toujours eu souvenir de Van halfling et de son geant.
Beaucoup de faux cuisiniers ont fini dans une marmite ou dans le ventre de Miam suite a leur hérésie culinaire, et les autorités locales n'ont jamais pu condamner l'halfling. A chaque fois qu'il fut accuser, toutes les preuves ou les témoins disparaissaient mystérieusement.
La mystérieux duo aurait participer a la traque et au démantèlement de l'organisation de celui dont on ne doit plus prononcer le nom dans le Moot, celui qui a usurper tous les meilleurs palets du moot, la fausse toque d'or Joel Robluchon, saint guide michelin protege nous....
Ce traitre avait même la direction de la section culinaire du Figamoot.
C'est lors de la lecture d'une des recettes du journal que Van halfling eu des soupçons, en effet pour déglacer un queue de jeune cochon de plus de 100 kg, l'hérétique conseillé une poêle a bord bas de diamètre 24 cm, avec de l'huile balsamique première pression a froid. Toute toque sait qu'avec cette méthode ce n'est pas un déglacage mais un reglacage que l'on obtient. en relisant tous les articles, il vit des milliers de ces incohérences.
Un matin, Van halfling suivi de son géant débarquèrent dans les cuisines de l'un des restaurant de la chaine de Joel Robluchon, a leur étonnement il n'y avait que des fours, pas de casseroles, de poêle, de râpe rien....
Seulement des caisses remplies de plat déjà cuisinier, la pourriture, le fils de gobelin....
La traque dura deux ans, mais finalement le corps de Joel robluchon fut trouvé, enfin seulement le tablier, devant son plus grand restaurant "le bon appétit bien sur"
les rumeurs veulent qu'il est fini dans le ventre de Miam...
... bientot la suite
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Re: Le bureau
Une histoire de sacoche et porte sacoche
Une histoire de sacoche et porte sacoche
Tout commença un beau jour de barbecue, un barbecue comme les autres, enfin du moins en apparence. Comme tous les jours, le Mootlandclan était réuni autour de quelques pièces de viande, environ une bonne douzaine de livre par personne.
Tous le moot était réuni, l'ancien et vénérable Fat fouch à déguster une bière d'une contrée lointaine, l'érudit Fouch lui avait encore une idée d'un projet génial et commencer à mettre sur le papier ces idées, le jeune Fouch était fasciné par les grosses rustines de Reese.
Le tardif Reese lui était venu préparer le brasier, et il était arrivé quand les grillades étaient sur le feu. Le puissant Mel était la aussi occupé a commenté la cuisson d'une cote de bœuf et a les comparer a ces célèbres boulettes de Viande. Le bricoleur Pralin lui travaillait sur un projet de moule de décor à base de gras de porc.
Pendant ce temps, le puissant catalan chinois et l’ogre tipoukripou (Pham et Grosacquet) discuté de l’utilité des grèves chez les transporteurs de cochon du sud du Moot. Un débat passionnant encore une fois…
Sacoche et Porte sacoche eux était occupés à créer un nouveau jeu de carte, tout en se battant a la bataille de pouce en 145 points. Il y avait 75 à 70, et il jouait depuis 4 heures. Les autres membres du Moot les avaient abandonnés comme a leur habitude pour ne pas saigner du nez. A abuser des pink limaces (un breuvage sacré dans le Moot), les deux compères furent pris d’une envie soudaine de satisfaire leur besoin naturelle. Ils se dirigèrent alors vers la célèbre foret maudite des bambous…
Lorsqu’il palabrait sur celui qui ferait pipi le plus loin, ils virent une douzaine de merguez flottait dans les aires et partir en direction du cœur des bois. Sacoche et porte sacoche décidèrent donc de partir pour cette nouvelle quête périlleuse.
Sacoche s’équipa de sa terrible fourchette pique grillade et de son balai magique, tandis que porte-sacoche lui était équipé de l’horrible martinet a trois lanières et de sa bourses magiques. Ils prirent une douzaine de verres de breuvage enivrant, et partirent en quête des grillades perdues.
La traversée de la foret furent longue et rigoureuse, en sortant des bois il était épuisé, mais sain et sauf, il avait marché plus de 5 min et décidèrent donc de faire une pause âpres une si longue marche. Quatre heures après, ils étaient de nouveau sur pied, devant eux s’étendait un drôle d’horizon, un petit étang rectangulaire et une drôle de bâtisse au forme géométrique.
Et c’est la que venu de nulle part, ils débarquèrent, les pires créatures que le moot connaissent, saint guide Michelin protège nous : les végétariens et ceux ici était en plus moitié sorcier et re moitié végétariens derrière.
« Vous êtes des carnivores, des mangeures de viandes, vous devez mourir !! »
« Comment ne pouvez vous pas aimez les merguez, faites pas les idiots posez ces merguez et aucun sang ne couleras » rétorqua sacoche, tandis que porte sacoche échafaudait un plan contre leur terrible ennemi.
« Dimitri, j’ai un plan, à mon signal on leur prend leur merguez et on court » Glissa porte sacoche à l’oreille de son ami.
« Vous savez ce que c’est une luciole qui a pris du viagra ? »
Pendant que les deux végétariens palabraient sur la réponse, sacoche se glissa derrière eux et leur assena un violent coup de son bâton magique dans le cou.
« Dans le cul, les bouffeurs de soja !!» Cria le puissant sacoche.
Le matin au lever, les vegetariens était entourée de collier de merguez et les deux héros était déjà loin, enfin a environ a 100m.
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Re: Le bureau
je te reprend l'histoire fluffyman
Gisbruk n’était pas un être courageux c’était même plutôt un couard, cependant il savait qu’un jeune gobelin comme lui ne vivait pas longtemps seul ; c’est pourquoi il pourchassait le même sguig depuis trois jours. Une fois soumis cet étrange animal ferait un allié de choix, et il pourrait reconquérir sa place dans la tribu.
Gisbruk était à présent bien éloigné de ses montagnes et de la caverne dans laquelle il avait découvert le sguig. Tout c’était bien passé au début de la capture, il avait réussi à amener la créature hors de sa caverne grâce à son bâton, mais quand il avait voulu lui passer le mord, le sguig s’était enfuit vers l’ouest. Et depuis Gisbruk courrait après. Il ne savait combien de lieux ils avaient parcourus et quelles frontières ils avaient franchies, de mémoire de gobelin aucun voyage ne fut aussi long. Les jambes fatiguées et le souffle court, le gobelin avait décidé d’en finir avec cette traque ridicule. Tout cela n’avait plus aucun sens, même s’il revenait en chevauchant le sguig il ne serait pas réintégré à la tribu, il avait offensé le chef, le gobelin le plus puissants de la tribu des Dankipik. Pourquoi avait il jeté ses crottes de nez à ce moment la, juste quand il passait... son nez lui grattait mais quand même… sur le chef.
Gisbruk rebouchait chemin lorsqu’il tomba nez à nez avec la créature des cavernes, le suig rouge vif le toisait, il était aussi grand que le gobelin, il semblait lui aussi fatigué, à bout de force même, prêt à se rendre. Voyant sa chance tourner Gisbruk sorti délicatement le mord, s’il parvenait à le passer dans la bouche du sguig sans se faire manger un bras c’était gagné. Il l’appellerait Taloula, oui Taloula le sguig rouge sa sonnait bien. Et sans s’en rendre compte Gisbruk avait fait une énorme erreur, une erreur qu’aucun gobelin n’avait faite avant lui. Il avait trop réfléchi.
Le sguig tourna les talons et s’enfuit, donnant dans son mouvement un coup de queue qui projeta le gobelin dans un buisson.
C’est alors que Gisbruk vît ce qui allait changer sa vie.
En un éclair surgissant de l’ombre un chevalier en armure surgit et embrocha Taloula, le pauvre sguig fut tué sur le coup. Gisbruk ne bougeait pas, le chevalier ne l’avait pas vu. Il comprit que cet être était ce que les anciens appelaient un Zumains, cependant les personnages des histoires lui paraissaient plus grands et il n’avait pas souvenir que ceux-ci chevauchaient des cochons, tout roses et bien dodus, mais plutôt des chevaux.
Le chevalier flattais sa monture « Beau travail Patta Négra, retournons au village ». Puis il s’en fut comme il était venu en un éclair.
Suivant son instinct et l’espoir de remplir sa panse Gisbruk partis à sa suite, le cochon était trop rapide pour le gobelin mais laissait de traces faciles à suivre. Au bout de quelques minutes il arriva à l’orée de la forêt, le village était là.
Ce que vit Gisbruk allait au delà de son imagination, les Zumains étaient peu nombreux mais tous gras, il y avait de la nourriture partout en abondance. Son sang ni fit qu’un tour, il avait trouvé le moyen de réintégrer sa tribu, il allait raconter au chef ce qu’il avait vu ici. Les Dankipik pourront enfin manger à leur faim et être aussi gras que les Zumains ! Cet élan d’optimisme entrainât Gisbruk hors de la forêt et il fut repéré par le chevalier sur cochon qui se trouvait à quelque mettre de lui, entrain d’attacher la bride de sa monture à la clôture d’une taverne. Celui ci dégaina son épée et fonça sur Gisbruk en poussant ce qui semblait être son cris de guerre « Catalan’s first !!! ». Mais le chevalier n’allait pas très vite sans son cochon et Gisbruk parvint à s’enfuir.
Le retour vers les montagnes fût long et pénible, le sguig avait entrainé le gobelin loin dans les terres. Dix jours après avoir fuit le village des Zumains, Gisbruk rejoignis sa tribu. Il demanda audience au chef et celle-ci lui fut accordée. Il raconta alors son histoire, enjolivée par dix jours de marche solitaire.
Le chef rit à gorge déployée, s’approcha de Gisbruk le pris dans ses bras et sans rien dire lui cassa le coup « On fait moins le malin maintenant Gisbruk!! Te foutre de moi une fois ne t’as pas suffi… j’ai été trop gentils avec toi. ». Il lâcha le corps qui tomba sans vie sur le sol de la caverne.
Alors le chaman de la tribu s’approcha et murmura au chef de sorte que le reste de la tribu ne puisse entendre : « Fallait pas l’tuer, l’gars Gisbruk disais vrai j’ai déjà entendus ces histoires sur cette tribu de Zumains petits et gras et leur pays plus riche que tout les autres réunis. En faite ce ne sont pas vraiment des Zumains mais des Zobbits, des Mini Zumains s’tu veux. ».
Abasourdit le chef regarda le chaman droit dans les yeux et dit : « Invoque son esprit ou tu es mort. ».
Le chaman dégluti et commença à tourner autour du cadavre en psalmodiant des prières pour Gork et peut être même pour Mork. Cela dura huit heures, jusqu'à ce qu’une aveuglante lumière verte jaillisse du corps déchiré de Gisburk. Tous les gobelins s’enfuirent excepté le chef et le chaman. La lumière se concentra au centre de la caverne, elle semblait animée de sa vie propre. Le chaman fut le premier à parler : « Gisbruk j’t’ai ramené d’entre les morts pour qu’tu nous guide vers le pays de Minizumains, c’est la volonté du chef. ».
L’esprit invoqué n’avait d’autre choix que de faire ce qu’il lui était demandé, il s’exécutât donc, expliquant aux deux gobelins comme atteindre le Moot car il savait le nom de ce pays désormais. La mort apporte bien des savoirs.
Ayant eu ce qu’il voulait le chef se tourna vers le chaman en disant « Revois le d’où ki vient maintenant !!». Mais le chaman ne savait comment faire, il avait libéré un être qu’il ne contrôlait pas.
L’esprit s’adressa alors au chef « Vous devriez vous dépêcher car. Je vais répandre la nouvelle d’une contrée merveilleuse qui ne demande qu’a être conquise, je pense que les peuples les plus belliqueux vous rejoindrons vite. Telle sera ma vengeance».
Puis dans un rire effroyable la lumière se dissipa.
Pendant ce temps là dans la taverne du cochon qui rit, le chevalier du cochon d’or le plus respecté de tout le Moot, Guillaume « Pham » Chardes, racontait comment il avait terrassé un monstre immonde, omettant de parlez de celui qui lui avait échappé à cause de son manque d’aptitude à la course… Sa légende n’en sera que plus belle.
Il commanda une nouvelle bière loin de se douter que son embonpoint aurait des conséquences terribles pour tout le Moot.
Gisbruk n’était pas un être courageux c’était même plutôt un couard, cependant il savait qu’un jeune gobelin comme lui ne vivait pas longtemps seul ; c’est pourquoi il pourchassait le même sguig depuis trois jours. Une fois soumis cet étrange animal ferait un allié de choix, et il pourrait reconquérir sa place dans la tribu.
Gisbruk était à présent bien éloigné de ses montagnes et de la caverne dans laquelle il avait découvert le sguig. Tout c’était bien passé au début de la capture, il avait réussi à amener la créature hors de sa caverne grâce à son bâton, mais quand il avait voulu lui passer le mord, le sguig s’était enfuit vers l’ouest. Et depuis Gisbruk courrait après. Il ne savait combien de lieux ils avaient parcourus et quelles frontières ils avaient franchies, de mémoire de gobelin aucun voyage ne fut aussi long. Les jambes fatiguées et le souffle court, le gobelin avait décidé d’en finir avec cette traque ridicule. Tout cela n’avait plus aucun sens, même s’il revenait en chevauchant le sguig il ne serait pas réintégré à la tribu, il avait offensé le chef, le gobelin le plus puissants de la tribu des Dankipik. Pourquoi avait il jeté ses crottes de nez à ce moment la, juste quand il passait... son nez lui grattait mais quand même… sur le chef.
Gisbruk rebouchait chemin lorsqu’il tomba nez à nez avec la créature des cavernes, le suig rouge vif le toisait, il était aussi grand que le gobelin, il semblait lui aussi fatigué, à bout de force même, prêt à se rendre. Voyant sa chance tourner Gisbruk sorti délicatement le mord, s’il parvenait à le passer dans la bouche du sguig sans se faire manger un bras c’était gagné. Il l’appellerait Taloula, oui Taloula le sguig rouge sa sonnait bien. Et sans s’en rendre compte Gisbruk avait fait une énorme erreur, une erreur qu’aucun gobelin n’avait faite avant lui. Il avait trop réfléchi.
Le sguig tourna les talons et s’enfuit, donnant dans son mouvement un coup de queue qui projeta le gobelin dans un buisson.
C’est alors que Gisbruk vît ce qui allait changer sa vie.
En un éclair surgissant de l’ombre un chevalier en armure surgit et embrocha Taloula, le pauvre sguig fut tué sur le coup. Gisbruk ne bougeait pas, le chevalier ne l’avait pas vu. Il comprit que cet être était ce que les anciens appelaient un Zumains, cependant les personnages des histoires lui paraissaient plus grands et il n’avait pas souvenir que ceux-ci chevauchaient des cochons, tout roses et bien dodus, mais plutôt des chevaux.
Le chevalier flattais sa monture « Beau travail Patta Négra, retournons au village ». Puis il s’en fut comme il était venu en un éclair.
Suivant son instinct et l’espoir de remplir sa panse Gisbruk partis à sa suite, le cochon était trop rapide pour le gobelin mais laissait de traces faciles à suivre. Au bout de quelques minutes il arriva à l’orée de la forêt, le village était là.
Ce que vit Gisbruk allait au delà de son imagination, les Zumains étaient peu nombreux mais tous gras, il y avait de la nourriture partout en abondance. Son sang ni fit qu’un tour, il avait trouvé le moyen de réintégrer sa tribu, il allait raconter au chef ce qu’il avait vu ici. Les Dankipik pourront enfin manger à leur faim et être aussi gras que les Zumains ! Cet élan d’optimisme entrainât Gisbruk hors de la forêt et il fut repéré par le chevalier sur cochon qui se trouvait à quelque mettre de lui, entrain d’attacher la bride de sa monture à la clôture d’une taverne. Celui ci dégaina son épée et fonça sur Gisbruk en poussant ce qui semblait être son cris de guerre « Catalan’s first !!! ». Mais le chevalier n’allait pas très vite sans son cochon et Gisbruk parvint à s’enfuir.
Le retour vers les montagnes fût long et pénible, le sguig avait entrainé le gobelin loin dans les terres. Dix jours après avoir fuit le village des Zumains, Gisbruk rejoignis sa tribu. Il demanda audience au chef et celle-ci lui fut accordée. Il raconta alors son histoire, enjolivée par dix jours de marche solitaire.
Le chef rit à gorge déployée, s’approcha de Gisbruk le pris dans ses bras et sans rien dire lui cassa le coup « On fait moins le malin maintenant Gisbruk!! Te foutre de moi une fois ne t’as pas suffi… j’ai été trop gentils avec toi. ». Il lâcha le corps qui tomba sans vie sur le sol de la caverne.
Alors le chaman de la tribu s’approcha et murmura au chef de sorte que le reste de la tribu ne puisse entendre : « Fallait pas l’tuer, l’gars Gisbruk disais vrai j’ai déjà entendus ces histoires sur cette tribu de Zumains petits et gras et leur pays plus riche que tout les autres réunis. En faite ce ne sont pas vraiment des Zumains mais des Zobbits, des Mini Zumains s’tu veux. ».
Abasourdit le chef regarda le chaman droit dans les yeux et dit : « Invoque son esprit ou tu es mort. ».
Le chaman dégluti et commença à tourner autour du cadavre en psalmodiant des prières pour Gork et peut être même pour Mork. Cela dura huit heures, jusqu'à ce qu’une aveuglante lumière verte jaillisse du corps déchiré de Gisburk. Tous les gobelins s’enfuirent excepté le chef et le chaman. La lumière se concentra au centre de la caverne, elle semblait animée de sa vie propre. Le chaman fut le premier à parler : « Gisbruk j’t’ai ramené d’entre les morts pour qu’tu nous guide vers le pays de Minizumains, c’est la volonté du chef. ».
L’esprit invoqué n’avait d’autre choix que de faire ce qu’il lui était demandé, il s’exécutât donc, expliquant aux deux gobelins comme atteindre le Moot car il savait le nom de ce pays désormais. La mort apporte bien des savoirs.
Ayant eu ce qu’il voulait le chef se tourna vers le chaman en disant « Revois le d’où ki vient maintenant !!». Mais le chaman ne savait comment faire, il avait libéré un être qu’il ne contrôlait pas.
L’esprit s’adressa alors au chef « Vous devriez vous dépêcher car. Je vais répandre la nouvelle d’une contrée merveilleuse qui ne demande qu’a être conquise, je pense que les peuples les plus belliqueux vous rejoindrons vite. Telle sera ma vengeance».
Puis dans un rire effroyable la lumière se dissipa.
Pendant ce temps là dans la taverne du cochon qui rit, le chevalier du cochon d’or le plus respecté de tout le Moot, Guillaume « Pham » Chardes, racontait comment il avait terrassé un monstre immonde, omettant de parlez de celui qui lui avait échappé à cause de son manque d’aptitude à la course… Sa légende n’en sera que plus belle.
Il commanda une nouvelle bière loin de se douter que son embonpoint aurait des conséquences terribles pour tout le Moot.
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Re: Le bureau
LES COUTELLIERS
L’unité des couteliers est celle qui se rapproche le plus des épéistes de l’Empire, c’est une unité populaire formée de citoyen habitués au maniement des dagues, couteaux, épées et autres tranchoirs.
On trouve dans ces rassemblements des halflings qui dans le civils sont bouchers, charcutiers, équarisseurs ou encore écorcheurs. Ce ne sont pas les plus joviaux des halflings et ils ne craignent pas la vue du sang. Certaine mauvaises langues affirment même qu’ils sont particulièrement enclins à la violence.
Au son du tocsin, lorsque leur village est menacé ils forment des troupes disparates, couvertes de sang avant même le début des combats.
Ces unités sont dirigées par un sergent appelé selon son métier Maitre-boucher, maitre-Equarisseur…
J’ai eu l’occasion de rencontrer un des sergents parmi les plus renommés j’ai nommé le Maitre-Egorgeur Rascal Rougemain, employé à la tuerie de l’abattoir de Barliton. Il égorge veaux vaches, cochons depuis des générations et certains pensent qu’il a perdu la raison depuis déjà bien longtemps. Malgré tout il est aussi efficace pour l’abattage que pour mener ses gars au combat et son courage n’a encore jamais fait défaut. Autant respecté que craint, sur le champ de bataille, il est redoutable son long couteau effilé à la main.
L’unité des couteliers est celle qui se rapproche le plus des épéistes de l’Empire, c’est une unité populaire formée de citoyen habitués au maniement des dagues, couteaux, épées et autres tranchoirs.
On trouve dans ces rassemblements des halflings qui dans le civils sont bouchers, charcutiers, équarisseurs ou encore écorcheurs. Ce ne sont pas les plus joviaux des halflings et ils ne craignent pas la vue du sang. Certaine mauvaises langues affirment même qu’ils sont particulièrement enclins à la violence.
Au son du tocsin, lorsque leur village est menacé ils forment des troupes disparates, couvertes de sang avant même le début des combats.
Ces unités sont dirigées par un sergent appelé selon son métier Maitre-boucher, maitre-Equarisseur…
J’ai eu l’occasion de rencontrer un des sergents parmi les plus renommés j’ai nommé le Maitre-Egorgeur Rascal Rougemain, employé à la tuerie de l’abattoir de Barliton. Il égorge veaux vaches, cochons depuis des générations et certains pensent qu’il a perdu la raison depuis déjà bien longtemps. Malgré tout il est aussi efficace pour l’abattage que pour mener ses gars au combat et son courage n’a encore jamais fait défaut. Autant respecté que craint, sur le champ de bataille, il est redoutable son long couteau effilé à la main.
Dernière édition par groniar le Mar 20 Jan - 19:46, édité 1 fois
Re: Le bureau
LES CURES-DENTS
L’unité des Cures-Dents est celle regroupant les lanciers qui usent avec éclectisme de toutes sortes d’armes approchantes comme les fourches, framées, piques…
Ce régiment doit son nom à l’habituelle ironie dont font preuve les halflings, il est composé en grande majorité de paysans qu’ils soient céréaliers, maraîchers ou éleveurs de basse cour.
Ce sont des personnages simples et terres à terres à la bonne humeur inébranlable qui maîtrisent la fourche depuis leur plus tendre enfance.
Même si, et ce n’est pas peu dire, ils ne comptent pas parmi les plus disciplinés habitants du Mootland leur pragmatisme naturel leur permet d’acquérir un véritable esprit de corps en temps de crise.
Si quelque fois des conflits internes éclatent au sujet de telle vache malade ou pâturage envahi on peu compter sur les sergents pour garantir une bonne entente au sein de la troupe.
Le plus souvent ces sergents sont recrutés parmi les plus anciens paysans qui ont au fil du temps changé leur esprit bassement matérialiste au profit d’une calme autorité paternelle qui leur assure le respect et l’entière coopération des soldats citoyens sous leurs ordres.
L’unité des Cures-Dents est celle regroupant les lanciers qui usent avec éclectisme de toutes sortes d’armes approchantes comme les fourches, framées, piques…
Ce régiment doit son nom à l’habituelle ironie dont font preuve les halflings, il est composé en grande majorité de paysans qu’ils soient céréaliers, maraîchers ou éleveurs de basse cour.
Ce sont des personnages simples et terres à terres à la bonne humeur inébranlable qui maîtrisent la fourche depuis leur plus tendre enfance.
Même si, et ce n’est pas peu dire, ils ne comptent pas parmi les plus disciplinés habitants du Mootland leur pragmatisme naturel leur permet d’acquérir un véritable esprit de corps en temps de crise.
Si quelque fois des conflits internes éclatent au sujet de telle vache malade ou pâturage envahi on peu compter sur les sergents pour garantir une bonne entente au sein de la troupe.
Le plus souvent ces sergents sont recrutés parmi les plus anciens paysans qui ont au fil du temps changé leur esprit bassement matérialiste au profit d’une calme autorité paternelle qui leur assure le respect et l’entière coopération des soldats citoyens sous leurs ordres.
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Re: Le bureau
Commentaires sur les gnomes…
Pour un non initié, tous les habitants du Moot se ressemblent. Mais en réalité, il existe une multitude de race de « petit gens », certaine comptant seulement quelque individu et d’autre comme les Halflings en comptant des milliers.
Mais si vous recherchez la race la plus soupe au lait, la plus râleuse, arrêtez vous dans les forets du Moot. Vous y trouverez au pied de chêne plusieurs fois centenaires, de drôle de petite porte, par laquelle une forte d’odeur d’alcool se dégage. Vous avez de la chance, vous êtes devant une habitation gnome, ou comme les gnomes les appellent une cave. Si vous tenez plus de cinq minutes sans être chassé, assommé ou même pire, vous êtes encore plus chanceux.
En effet les gnomes sont pour le moins territoriale et quelque fois un peu démesurée dans leur réaction. Vous les reconnaitrez facilement, ils sont trapus mais ventripotent, et peuvent porter une légère barbe, souvent par négligence plus que par coquetterie. Ils ont un nez énorme, mais comme il dise « Tu crois que c’est avec ton micro pif que tu va pouvoir sentir et apprécier un bon breuvage, d’ailleurs tu le veux dans ta » [censuré pour des raisons évidentes de décence]. Il porte des bottes car il dise qu’il n’aime pas la route pavée, mais ils le font surtout pour dissimuler leur très forte odeur de pied. C’est de la d’ailleurs que vient la rumeur que les gnomes descendrait d’une famille d’halfling chassé des villages dans les forets a cause de l’odeur pestilentielle de leur petons.
Leur alcool est réputé dans tous le Moot, et leur distillerie abreuve toutes les tavernes de la région. Et c’est pour cela que les halfling considèrent les gnomes comme des membres a part entière du Moot, certain gnomes sont mêmes maire ou anciens. Les gnomes eux apprécient les halflings pour leur cuisine et leur art de vivre, mais les jalouses secrètement pour leur pied nus.
Dans les tavernes, les gnomes ne sont pas les derniers dans les bagarres, si bien que lorsque le Moot lève une armée, il n’hésite à prendre les armes et une bouteille pour défendre leur distillerie et leur cave.
Pour un non initié, tous les habitants du Moot se ressemblent. Mais en réalité, il existe une multitude de race de « petit gens », certaine comptant seulement quelque individu et d’autre comme les Halflings en comptant des milliers.
Mais si vous recherchez la race la plus soupe au lait, la plus râleuse, arrêtez vous dans les forets du Moot. Vous y trouverez au pied de chêne plusieurs fois centenaires, de drôle de petite porte, par laquelle une forte d’odeur d’alcool se dégage. Vous avez de la chance, vous êtes devant une habitation gnome, ou comme les gnomes les appellent une cave. Si vous tenez plus de cinq minutes sans être chassé, assommé ou même pire, vous êtes encore plus chanceux.
En effet les gnomes sont pour le moins territoriale et quelque fois un peu démesurée dans leur réaction. Vous les reconnaitrez facilement, ils sont trapus mais ventripotent, et peuvent porter une légère barbe, souvent par négligence plus que par coquetterie. Ils ont un nez énorme, mais comme il dise « Tu crois que c’est avec ton micro pif que tu va pouvoir sentir et apprécier un bon breuvage, d’ailleurs tu le veux dans ta » [censuré pour des raisons évidentes de décence]. Il porte des bottes car il dise qu’il n’aime pas la route pavée, mais ils le font surtout pour dissimuler leur très forte odeur de pied. C’est de la d’ailleurs que vient la rumeur que les gnomes descendrait d’une famille d’halfling chassé des villages dans les forets a cause de l’odeur pestilentielle de leur petons.
Leur alcool est réputé dans tous le Moot, et leur distillerie abreuve toutes les tavernes de la région. Et c’est pour cela que les halfling considèrent les gnomes comme des membres a part entière du Moot, certain gnomes sont mêmes maire ou anciens. Les gnomes eux apprécient les halflings pour leur cuisine et leur art de vivre, mais les jalouses secrètement pour leur pied nus.
Dans les tavernes, les gnomes ne sont pas les derniers dans les bagarres, si bien que lorsque le Moot lève une armée, il n’hésite à prendre les armes et une bouteille pour défendre leur distillerie et leur cave.
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Re: Le bureau
histoire d'orienter cette quitescence de fluff
on va essayer de presenter le fluff comme un rapport ethnologique d'un savant de l'université d'altdorf.
Ca nessiteras que quelque reprise mineurs, et pour le dessins ca peut etre sympa comme un rapport de croquis avec des echelles de petites nottes scientifiques grifonnée, enfin a developper.
voila des commentaires?
on va essayer de presenter le fluff comme un rapport ethnologique d'un savant de l'université d'altdorf.
Ca nessiteras que quelque reprise mineurs, et pour le dessins ca peut etre sympa comme un rapport de croquis avec des echelles de petites nottes scientifiques grifonnée, enfin a developper.
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Re: Le bureau
Premier jet, brut de pomme, a develloper et relire, mais deja pour l'orientation
Dans le Mootland, il existe une organisation mystérieuse mais connu de tous. Elle pourrait être comparée à notre inquisition, nous impériaux. Cet assemblée aurait été crée secrètement par l’empereur et le grand Ancien après les invasions orques de 1707. Leurs ordres viennent directement de l’empereur, de Hisme CoeurVaillant ou des fois même leur propre chef. Leur venu sur un champ de bataille ou dans une foire à l’andouillette est toujours décisif. On les appelle souvent les anges de la saucisse, les chasseurs de végétariens, la crème entière de première qualité du Moot ou tout simplement le Mootlandclan....
Leurs membres sont tous la crème de la crème des habitants du Moot (Oui il aime la crème dans le Moot). Elle est constituée aussi bien de Halfling, de Gnome ou d’autre sorte de petits gens. Ces membres possèdent tous des dons ou des capacités hors du commun. Ils ne sont contactés qu’après de nombreux fait d’arme et d’exploit. Ils sont ensuite convoqués devant l’assemblé des 10. Le peu que j’ai pu apprendre sur cette assemblée est qu’elle serait constituée des dix pères fondateurs de l’organisation.
On reconnait un membre du Clan a sa chemise noir a broderie rouge, on dit qu’elle serait tissé en poil nasaux et pubien dragon et qu’elle serait impénétrable, même si certaine mauvaise voix disent que le caractère impénétrable viendrait plus tôt des lourdes armures qu’ils portent en dessous. Mais leur consommation extrême de boisson est aussi un bon critère
Leur quartier général se trouverait dans la cité perdue Agnymont, c’est le seul vrai secret que le clan conserve jalousement. D’âpres la légende, cette cité aurait été fondée par les lointains elfes, elle aurait été redécouverte lors d’une quête de l’assemblée des 10. Le clan y aurait retrouvé des milliers d’épices aujourd’hui disparu, des alcools vieux de plusieurs millénaires, des fruits aux tailles gigantesques. Dans leur extrême sagesse et voyant le pouvoir destructeur de cet havre culinaire, il aurait décidé de le protéger et de la cacher aux yeux du monde. Craignant les ravages qu’aurait pu causer la libération d’un tel pouvoir...
Dans le Mootland, il existe une organisation mystérieuse mais connu de tous. Elle pourrait être comparée à notre inquisition, nous impériaux. Cet assemblée aurait été crée secrètement par l’empereur et le grand Ancien après les invasions orques de 1707. Leurs ordres viennent directement de l’empereur, de Hisme CoeurVaillant ou des fois même leur propre chef. Leur venu sur un champ de bataille ou dans une foire à l’andouillette est toujours décisif. On les appelle souvent les anges de la saucisse, les chasseurs de végétariens, la crème entière de première qualité du Moot ou tout simplement le Mootlandclan....
Leurs membres sont tous la crème de la crème des habitants du Moot (Oui il aime la crème dans le Moot). Elle est constituée aussi bien de Halfling, de Gnome ou d’autre sorte de petits gens. Ces membres possèdent tous des dons ou des capacités hors du commun. Ils ne sont contactés qu’après de nombreux fait d’arme et d’exploit. Ils sont ensuite convoqués devant l’assemblé des 10. Le peu que j’ai pu apprendre sur cette assemblée est qu’elle serait constituée des dix pères fondateurs de l’organisation.
On reconnait un membre du Clan a sa chemise noir a broderie rouge, on dit qu’elle serait tissé en poil nasaux et pubien dragon et qu’elle serait impénétrable, même si certaine mauvaise voix disent que le caractère impénétrable viendrait plus tôt des lourdes armures qu’ils portent en dessous. Mais leur consommation extrême de boisson est aussi un bon critère
Leur quartier général se trouverait dans la cité perdue Agnymont, c’est le seul vrai secret que le clan conserve jalousement. D’âpres la légende, cette cité aurait été fondée par les lointains elfes, elle aurait été redécouverte lors d’une quête de l’assemblée des 10. Le clan y aurait retrouvé des milliers d’épices aujourd’hui disparu, des alcools vieux de plusieurs millénaires, des fruits aux tailles gigantesques. Dans leur extrême sagesse et voyant le pouvoir destructeur de cet havre culinaire, il aurait décidé de le protéger et de la cacher aux yeux du monde. Craignant les ravages qu’aurait pu causer la libération d’un tel pouvoir...
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Re: Le bureau
INTRO REMANIEE, jai juste enlevée commentaire sur les gnomes, et le premier paragraphe je trouve ca pluis fluide non?
Citoyens, mon nom est Phileas Palimpseste théoricien auprès de sa majesté impériale. L’ouvrage que vous tenez entre les mains est un traité d’ethnographie réalisé pour l’université d’Altdorf. La vocation de ce mémoire est de mieux connaitre les peuples de la province méconnue du Mootland.
Beaucoup ont critiqués mes travaux les prenant pour de simples farces ou au mieux des fantasmes embrumés. Mais je vous assure que ce dont je traite ici ne repose que sur des faits avérés, des observations recueillis au cours d’un séjour de plusieurs mois au cœur de cette province.
Enfin cher lecteurs, je vous laisse seuls juges et commencerais donc avant d’entrer dans le détail par une rapide introduction concernant ces terres mystérieuse au nord de notre empire.
Le Mootland est donc une province de l’empire. De loin la plus accueillante. Des forets clairsemées et giboyeuses où courent les lièvres et les faisans. Des rivières limpides parcourues de truites et de saumons. De vertes prairies et des terres fertiles parsemées de villages à flanc de coteaux.
C’est une contrée féérique peuplée de lutins, de chimères et de fées. Mais les autochtones les plus nombreux sont les halflings et les gnomes, des petits êtres poilus et ventripotents, robustes et parfaitement adaptés à la généreuse nature qui les entoure. Ils sont éleveurs, pas de vaches ni de chevaux qui les piétinerais aisément mais de tout le reste. Cochons et canards, moutons et poulardes, la viande du Moot est réputée dans tous l’empire. Agriculteurs aussi, leur vin, leur Alambik sacré mais surtout l’herbe à pipe se vendent jusqu’au cœur des forteresses naines. De nombreux halflings sont artisans, martineurs ou dinandiers, spécialisé dans la fabrication des ustensiles de cuisine en cuivre ou encore maître pipiers qui sculptent les kiserus, ces longues pipes traditionnelles taillées dans le bois du même nom.
De nature indolente et peu belliqueuse ils ont conservés leur territoire au cours des siècles en régalant de leurs arts les aristocraties de tout le vieux continent.
Chaque halfling est ainsi commerçant (quelque peu avare) mais aussi politicien (quelque peu bavard) à l’occasion. En effet leur organisation est encore une fois pittoresque. Ils vivent en petites communautés qui chaque année élisent un chef, l’Ancien, lors de rassemblement appelés Moot. Tous les anciens élisent ensuite l’un des leurs pour les représenter auprès de l’empereur. Toutes ces particularités font du Mootland une province hors du temps dans un monde où il n’y a que la guerre. Ainsi ses habitants sont fantasques. Ce sont d’intarissables conteurs, rêveurs, voir menteurs selon certains. Ils sont farceurs, chapardeurs crédules et têtus. Il me parait important de noté que la gent féminine de cette race à une importance sans commune mesure aux pratiques des autres provinces. Il n’est donc pas rares que les anciens soient en fait des anciennes.
Si le Moot compte sur l’empire pour assurer sa protection les halflings entretiennent quand même une petite armée. Notamment nombre de rangers ou chasseurs qui surveillent discrètement les frontières. De plus tout citoyen devient un soldat lorsque le besoin se fait sentir. Artisans, agriculteurs, commerçants, ils savent tous se battre avec courage et opiniâtreté. De nombreux chefs peaux-vertes en ont fait les frais alors qu’ils pensaient tranquillement piller d’attirantes récoltes.
Ces petits êtres ne pratiquent pas la magie, ce qui se rapprocherait le plus d’un magicien dans leur culture serait le cuistot ou toqué comme ils l’appellent parfois. En effet si les cuisiniers du Mootland sont capables de se jouer des sens de ceux qui ont l’honneur de goûter à leurs mets, voir de les ensorceler, ils se révèlent encore plus efficace avec leurs gourmets congénères. Ainsi en dosant savamment certaines épices ils arrivent à renforcer le moral des troupes ou à les faire entrer dans une sourde rage. Ils appellent cela la Gastrgonie.
Dans le même ordre d’idée, ces créatures ne sont que peu enclines à croire aux divinités impériales. Même si ils se passionnent pour les odyssées et les mythologies ils n’ont aucunes divinités propres. En revanche ils vouent quasiment un culte à leur breuvage sacré l’Alambik. Les maîtres Alambik ou bouilleurs de crus qui distillent ce breuvage font donc office de prêtres. Sur le champ de bataille ils distribuent aux unités stratégiques cette boisson qui à pour effet de rendre les combattants indémoralisables.
Les commandants militaires sont bien souvent des shirif chargé du maintien de l’ordre en temps de paix. Ce qui n’est pas une mince affaire tant ce peuple est indiscipliné et chapardeur.
Les chefs de guerres sont pour la plupart des anciens de la communauté ou des maires de villes importants. Ils sont particulièrement respectés et en temps de guerre les halflings font preuves d’une grande solidarité et d’un courage surprenant.
Mais si vous recherchez la race la plus soupe au lait, la plus râleuse, arrêtez vous dans les forets du Moot. Vous y trouverez au pied de chêne plusieurs fois centenaires, de drôle de petite porte, par laquelle une forte d’odeur d’alcool se dégage. Vous avez de la chance, vous êtes devant une habitation gnome, ou comme les gnomes les appellent une cave. Si vous tenez plus de cinq minutes sans être chassé, assommé ou même pire, vous êtes encore plus chanceux.
En effet les gnomes sont pour le moins territoriale et quelque fois un peu démesurée dans leur réaction. Vous les reconnaitrez facilement, ils sont trapus mais ventripotent, et peuvent porter une légère barbe, souvent par négligence plus que par coquetterie. Ils ont un nez énorme, mais comme il dise « Tu crois que c’est avec ton micro pif que tu va pouvoir sentir et apprécier un bon breuvage, d’ailleurs tu le veux dans ta » [censuré pour des raisons évidentes de décence]. Il porte des bottes soit disant parcequ'ils n’aiment pas la route pavée, mais ils le font surtout pour dissimuler leur très forte odeur de pied. C’est de la d’ailleurs que vient la rumeur que les gnomes descendrait d’une famille d’halfling chassé des villages dans les forets a cause de l’odeur pestilentielle de leur petons.
Leur alcool est réputé dans tous le Moot, et leur distillerie abreuve toutes les tavernes de la région. Et c’est pour cela que les halfling considèrent les gnomes comme des membres a part entière du Moot, certain gnomes sont mêmes maire ou anciens. Les gnomes eux apprécient les halflings pour leur cuisine et leur art de vivre, mais les jalouses secrètement pour leur pied nus.
Dans les tavernes, les gnomes ne sont pas les derniers dans les bagarres, si bien que lorsque le Moot lève une armée, il n’hésite à prendre les armes et une bouteille pour défendre leur distillerie et leur cave.
Chers lecteurs je vois poindre votre sourire à la lecture de ces propos qui semblent fantastiques mais ne vous formalisez pas et continuez donc à feuilleter cet opuscule car la partie suivante décrit dans le détail les populations de cette incroyable contrée.
Citoyens, mon nom est Phileas Palimpseste théoricien auprès de sa majesté impériale. L’ouvrage que vous tenez entre les mains est un traité d’ethnographie réalisé pour l’université d’Altdorf. La vocation de ce mémoire est de mieux connaitre les peuples de la province méconnue du Mootland.
Beaucoup ont critiqués mes travaux les prenant pour de simples farces ou au mieux des fantasmes embrumés. Mais je vous assure que ce dont je traite ici ne repose que sur des faits avérés, des observations recueillis au cours d’un séjour de plusieurs mois au cœur de cette province.
Enfin cher lecteurs, je vous laisse seuls juges et commencerais donc avant d’entrer dans le détail par une rapide introduction concernant ces terres mystérieuse au nord de notre empire.
Le Mootland est donc une province de l’empire. De loin la plus accueillante. Des forets clairsemées et giboyeuses où courent les lièvres et les faisans. Des rivières limpides parcourues de truites et de saumons. De vertes prairies et des terres fertiles parsemées de villages à flanc de coteaux.
C’est une contrée féérique peuplée de lutins, de chimères et de fées. Mais les autochtones les plus nombreux sont les halflings et les gnomes, des petits êtres poilus et ventripotents, robustes et parfaitement adaptés à la généreuse nature qui les entoure. Ils sont éleveurs, pas de vaches ni de chevaux qui les piétinerais aisément mais de tout le reste. Cochons et canards, moutons et poulardes, la viande du Moot est réputée dans tous l’empire. Agriculteurs aussi, leur vin, leur Alambik sacré mais surtout l’herbe à pipe se vendent jusqu’au cœur des forteresses naines. De nombreux halflings sont artisans, martineurs ou dinandiers, spécialisé dans la fabrication des ustensiles de cuisine en cuivre ou encore maître pipiers qui sculptent les kiserus, ces longues pipes traditionnelles taillées dans le bois du même nom.
De nature indolente et peu belliqueuse ils ont conservés leur territoire au cours des siècles en régalant de leurs arts les aristocraties de tout le vieux continent.
Chaque halfling est ainsi commerçant (quelque peu avare) mais aussi politicien (quelque peu bavard) à l’occasion. En effet leur organisation est encore une fois pittoresque. Ils vivent en petites communautés qui chaque année élisent un chef, l’Ancien, lors de rassemblement appelés Moot. Tous les anciens élisent ensuite l’un des leurs pour les représenter auprès de l’empereur. Toutes ces particularités font du Mootland une province hors du temps dans un monde où il n’y a que la guerre. Ainsi ses habitants sont fantasques. Ce sont d’intarissables conteurs, rêveurs, voir menteurs selon certains. Ils sont farceurs, chapardeurs crédules et têtus. Il me parait important de noté que la gent féminine de cette race à une importance sans commune mesure aux pratiques des autres provinces. Il n’est donc pas rares que les anciens soient en fait des anciennes.
Si le Moot compte sur l’empire pour assurer sa protection les halflings entretiennent quand même une petite armée. Notamment nombre de rangers ou chasseurs qui surveillent discrètement les frontières. De plus tout citoyen devient un soldat lorsque le besoin se fait sentir. Artisans, agriculteurs, commerçants, ils savent tous se battre avec courage et opiniâtreté. De nombreux chefs peaux-vertes en ont fait les frais alors qu’ils pensaient tranquillement piller d’attirantes récoltes.
Ces petits êtres ne pratiquent pas la magie, ce qui se rapprocherait le plus d’un magicien dans leur culture serait le cuistot ou toqué comme ils l’appellent parfois. En effet si les cuisiniers du Mootland sont capables de se jouer des sens de ceux qui ont l’honneur de goûter à leurs mets, voir de les ensorceler, ils se révèlent encore plus efficace avec leurs gourmets congénères. Ainsi en dosant savamment certaines épices ils arrivent à renforcer le moral des troupes ou à les faire entrer dans une sourde rage. Ils appellent cela la Gastrgonie.
Dans le même ordre d’idée, ces créatures ne sont que peu enclines à croire aux divinités impériales. Même si ils se passionnent pour les odyssées et les mythologies ils n’ont aucunes divinités propres. En revanche ils vouent quasiment un culte à leur breuvage sacré l’Alambik. Les maîtres Alambik ou bouilleurs de crus qui distillent ce breuvage font donc office de prêtres. Sur le champ de bataille ils distribuent aux unités stratégiques cette boisson qui à pour effet de rendre les combattants indémoralisables.
Les commandants militaires sont bien souvent des shirif chargé du maintien de l’ordre en temps de paix. Ce qui n’est pas une mince affaire tant ce peuple est indiscipliné et chapardeur.
Les chefs de guerres sont pour la plupart des anciens de la communauté ou des maires de villes importants. Ils sont particulièrement respectés et en temps de guerre les halflings font preuves d’une grande solidarité et d’un courage surprenant.
Mais si vous recherchez la race la plus soupe au lait, la plus râleuse, arrêtez vous dans les forets du Moot. Vous y trouverez au pied de chêne plusieurs fois centenaires, de drôle de petite porte, par laquelle une forte d’odeur d’alcool se dégage. Vous avez de la chance, vous êtes devant une habitation gnome, ou comme les gnomes les appellent une cave. Si vous tenez plus de cinq minutes sans être chassé, assommé ou même pire, vous êtes encore plus chanceux.
En effet les gnomes sont pour le moins territoriale et quelque fois un peu démesurée dans leur réaction. Vous les reconnaitrez facilement, ils sont trapus mais ventripotent, et peuvent porter une légère barbe, souvent par négligence plus que par coquetterie. Ils ont un nez énorme, mais comme il dise « Tu crois que c’est avec ton micro pif que tu va pouvoir sentir et apprécier un bon breuvage, d’ailleurs tu le veux dans ta » [censuré pour des raisons évidentes de décence]. Il porte des bottes soit disant parcequ'ils n’aiment pas la route pavée, mais ils le font surtout pour dissimuler leur très forte odeur de pied. C’est de la d’ailleurs que vient la rumeur que les gnomes descendrait d’une famille d’halfling chassé des villages dans les forets a cause de l’odeur pestilentielle de leur petons.
Leur alcool est réputé dans tous le Moot, et leur distillerie abreuve toutes les tavernes de la région. Et c’est pour cela que les halfling considèrent les gnomes comme des membres a part entière du Moot, certain gnomes sont mêmes maire ou anciens. Les gnomes eux apprécient les halflings pour leur cuisine et leur art de vivre, mais les jalouses secrètement pour leur pied nus.
Dans les tavernes, les gnomes ne sont pas les derniers dans les bagarres, si bien que lorsque le Moot lève une armée, il n’hésite à prendre les armes et une bouteille pour défendre leur distillerie et leur cave.
Chers lecteurs je vois poindre votre sourire à la lecture de ces propos qui semblent fantastiques mais ne vous formalisez pas et continuez donc à feuilleter cet opuscule car la partie suivante décrit dans le détail les populations de cette incroyable contrée.
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Re: Le bureau
LES FOURCHETTIERS
Ce régiment de soldats citoyens est celui qui manie les armes les plus lourdes, le plus souvent des hallebardes, des vouges et des guisarmes. Seul sont admis les plus robustes et les plus forts des halflings, ceux qui ont fait leurs preuves dans les régiments de cures-dents ou de coutelliers.Leur surnom vient du fait que cette unité est composée des halflings ayant le meilleur coup de fourchette et cette race étant déjà anormalement vorace ils sont capables de concurrencer un ogre. Ils sont donc mieux bâtis que leurs congénères et font preuve d’une fierté qui peut parfois être jugée importune.
Le plus souvent le fait de faire partie de cette unité leur permet d’acquérir un nouveau statut qui les dispense des travaux agricoles leur laissant encore plus de temps à accorder à leurs besoins nourriciers.
En temps de paix on les retrouve donc dans les tavernes et les gargotes où ils s’emploient de jour comme de nuit à vider les caves de leurs victuailles enjolivant leurs légendes personnelles et les ponctuant d’anecdotes improbables au sujet de quêtes oniriques et de batailles épiques.
Ce régiment de soldats citoyens est celui qui manie les armes les plus lourdes, le plus souvent des hallebardes, des vouges et des guisarmes. Seul sont admis les plus robustes et les plus forts des halflings, ceux qui ont fait leurs preuves dans les régiments de cures-dents ou de coutelliers.Leur surnom vient du fait que cette unité est composée des halflings ayant le meilleur coup de fourchette et cette race étant déjà anormalement vorace ils sont capables de concurrencer un ogre. Ils sont donc mieux bâtis que leurs congénères et font preuve d’une fierté qui peut parfois être jugée importune.
Le plus souvent le fait de faire partie de cette unité leur permet d’acquérir un nouveau statut qui les dispense des travaux agricoles leur laissant encore plus de temps à accorder à leurs besoins nourriciers.
En temps de paix on les retrouve donc dans les tavernes et les gargotes où ils s’emploient de jour comme de nuit à vider les caves de leurs victuailles enjolivant leurs légendes personnelles et les ponctuant d’anecdotes improbables au sujet de quêtes oniriques et de batailles épiques.
Re: Le bureau
Ma manque plus agnymont et les lieux spéciaux (foret barbue, malpente, colline du ponant) voila deja le premiere trait
Index géographique
Le Moot est composée de nombreux petits villages dont la plupart n’ont seulement que quelques familles. L’ensemble est administré par une capitale ou chefferie. La chefferie du Mootland est Granbourg que les petits gens nomment également ODER BIPP ce qui porte parfois à confusion pour les voyageurs. L’Ancien de Granbourg est Hisme Coeurvaillant.
Granbourg (Oder Bipp)
Oder Bipp est la chefferie du Mootland et c’est de loin le plus gros et le plus beau village du Moot. Il se situe a proximité de la Forêt barbue, au Nord ouest du Moot. C'est le premier village halfeling que l’on rencontre quand on franchit La Passe par le nord du pays. Le pot et la casserole est le relais de diligence de la canon ball express situé à l’entrée d’Oder Bipp. Chaque semaine, des étrangers arrivent par la diligence. Pour la plupart d’entre eux, ce n’est qu’une étape vers le l’Est. On y dine bien sur très bien. Les voyageurs peuvent y gouter les fameuses crêpes servies en quantité avec la gelée de groseille, du cidre de pomme et la Trouspinette. Cette boisson alcoolisée est fabriquée à partir de racine de la foret et de vin elfe. Ils repartent généralement avec, en main, un sac de gâteau sec au beurre et au miel.
Aucun mur d’enceinte n’entoure les villages petit gens dont les habitations sont bien trop dispersées. Ce qui en fait des villages ouverts aux voyageurs de passage. La chefferie n’est pas une exception. Pour le reste Oder Bipp ne ressemble à aucun autre village du Moot et constitue en quelque sorte la fierté de ses habitants. Les premiers petits gens a s’être installés dans cette région du Stirland occupèrent une sorte de fosse naturelle, profonde et large, dont le fond était tapissée d’une étrange végétation. Des arbres aux feuillages toujours verts et aux couleurs chatoyantes, des fleurs au parfum enivrants, des baies sauvages délicieuses et des petits gibiers : voila ce que les premiers halflings trouvèrent au fond de ce puits. Les halflings ont au fils des ans aménagé le site pour en faire le plus grand village du Moot.
Il y à prés de cinq cents halflings et une centaine de gnomes adulte qui vivent toute l’année a Oder Bipp. Le puits naturelle a été aménage de telle façon qu’une sorte de ville s’est créées tout autour et dans les parois sur un dénivelé de 200mètre environ. Des centaines de petites fenetres rondes et ovales, de portes et de traverses forment comme une sorte d’énormes ruches. Voir un tel spectacle est assez étonnant…et déconcertant également.
Les halflings n’ont jamais particulièrement brillé par leur architecture (originale peut être mais peu élaborée…). Le puits offre une pente douce, qui nécessite néanmoins une bonne assurance pour arriver en bas sans se blesser ou finir dans des ronces. Pour cela, les petits gens ont creusé des dizaines d’escaliers qui courent le long de la pente, s’arrêtant de temps à autre sur des terrasses ou des traverses pour enfin aboutir au fond du puits, quelque 200 mètres plus bas, au beau milieu d’un grand parc que les petits gens nomment Le Pâtis. C’est ici que se tiennent la majorité des discussions et que les fêtes ont lieu.
Dans les collines qui surplombent le puits naturelle d’Oder Bipp il ya plusieurs trou aménagés ainsi que deux moulins a vents qui appartiennent à différentes familles : Les Piedors, les Verdebois et les Couchefleurie. En 2512 il y eu un nouveau héro a Granbourg. Un halfling de la famille Couchefleurie (Gaspard) à dévoré 24 plats pour le diners. Les mets cuisinés pour son anniversaire, ses 90ans, étaient des plus variés. Des cuisseaux de mouton avec leur accompagnement, des jambons de cochon et des pâtes, des poulets rôtis, des tartes aux fruits, plusieurs brassées de cerise a la crème, un tonnelet de cidre et un autre de vin.
L’Auberge au fond du puits est l’auberge la plus fréquentée du Moot, c’est un lieu accueillant, les gens aiment venir s’y retrouver autour d’un verre de Mousseline (Une bière mélangé avec une sorte de crème fouettés), quelques amuses gueules et surtout profiter de la plus grande terrasses d’Oder Bipp. C’est un lieu de passage et on y rencontre énormément de voyageurs : des troubadours, des gnomes esclaffés et joyeux et surtout beaucoup d’aventuriers de passage, profitant d’une dernière escale avant un long voyage dangereux.
L’aubergiste Amaigrin Soufleverre, est un ancien aventurier qui aurait voyager jusqu’aux confins de l’Estalie, et qui aurait côtoyé un temps plusieurs groupes d’intriguant Estalien peut fréquentables…Amaigrin raconte à qui veut l’entendre ses histoires rocambolesques et passionnées, en exhibant fièrement sa cicatrice. Peu le croient mais il faut avouer que ces histoires ont quelque chose d’authentique.
Les Halles au Hines est le plus grand marché couvert du Mootland. On y retrouve de tout, car la famille Hine est en relation avec de nombreux marchands à travers le vieux monde. A vrai dire, la famille Hine est en relation avec tout le monde. Dans un trou de plus de 4000m², les Halles au Hine comportent de nombreuses boutiques et échoppes couvrant pratiquement tous les métiers du Moot. Bien sur, on vient des quatre coins du Moot pour flâner entre les étalages des échoppes, et discuter avec de lointains cousins ou gouter des plats.
LAMPOULE
Situé à l’est de la Petite Bordure Lampoule est un petit bourg calme entouré par des champs de blé. Les trous des petits gens sont regroupés sur les quelques douces collines qui bordent les routes qui mènent a Troumont, Oder Bipp et Vermont. A l’intersection de ces trois routes se trouvent une grande place sur laquelle sont établis de nombreux trou échoppes. C’est aussi ici que se tiennent les réunions convoqués par l’ancien, Thomas Piechenu. La vie quotidienne du village est marquée par les durs travaux des champs et la douce agitation caractéristique de la période de la moisson.
Cependant quand arrive l’automne un autre genre de folie s’empare progressivement des habitants de Lampoule. Tous guettent les nuages et la pluie, calculent les cycles de la lune, débattent de l’humidité des sous bois des heures autour d’une choppe a la taverne du bolet royal. Cette agitation culmine le jour des cueilleurs dont la date exacte diffère d’année en années et est fixée de façon très savante par l’ancien du village. Tous les petits gens du village pique nique dans une grande clairières au nord ouest du village. Et l’après midi la grande cueillette est lancé. Tous prennent la forêt d’assaut a la recherche du roi des bolets, le plus gros cèpe qui puissent être cueilli cet après midi la. En effet les champignons de cette forêt au nord ouest constituent toute la richesse du village, car il serait les meilleur de l’Empire.
VERMONT
Vermont est la patrie des petits gens pécheur et pisciculteur. Très étendu le village est lové contre la rivière Aver. Les trous sont située tous au sud de la rivière est orientée en direction de celle-ci afin que les habitants puissent toujours avoir un œil sur les étangs. D’innombrables canaux, alimentent pas les eaux de l’Aver depuis les Vannes, serpentent entre les collines au fond des petits vallons, parallèlement aux routes et chemins du villages et se rejoignent en de petits étangs qui marquent a chaque fois une séparation des routes terrestres. A chaque croisement entre les routes et les chenaux se trouve un petit pont. Tous ce réseau est tres fonctionnel et entretenu avec passion par les six petits gens de la guilde d’entretien des eaux, écluses, étangs et ponts. La seule échoppe du village est « le mangepoisse ». La réputation des truites de Vermont n’est plus à faire et leur saveur fait le bonheur de tous les palais du vieux monde.
TROUMONT
Ses habitants tirent leur richesse des quelques grand champignonnières qui sont disséminé dans les contreforts des collines du Ponant. La vie y est douce. La place du village est toujours très animée et les petits gens très accueillants. La proximité des vertes collines est souvent prétexte à des piques niques improvisé et autre promenades. Il n’est pas rare que les voyageurs choisissent de quitter la route principale pour passer par Troumont lors de leur traversée du Moot afin de profiter d la bonne humeur des habitants surtout lors de la fête annuelle des Laboures. En effet chaque année à la période des labours, a lieu le concours du plus beau cochon de trai.
Avant l’invasion de 1707 Troumont était un village prospère. Mais les orques dévastèrent le village et détruisirent les champignonnières. Ce fut a Troumont que furent perpétrées les pires horreurs par les peaux vertes. L’herbe des collines avait jauni et séchée et les champignonnières avait été abandonnées. La reconstruction de Troumont fut longue et le village n’a jamais retrouvé sa vitalité d’antan malgré tous les efforts de l’ancien. Johann Grandtronc.
Les voyageurs arrivent par le nord à Troumont laissant derrière eux les collines du Ponant et les champs verts et les vergers fleuris qui bordent le village. Ils longent deux petites deux petites collines entre lesquelles se trouvent l’ancienne grande place du village et les trous abandonnées qui la bordent. Puis ils pénètrent enfin dans le bourg dont les portes rondes des trous et les fenêtres cerclées de brique sont caractéristiques. Les petits gens hormis quelque exception sont plutôt moroses. Afin que la mémoire du village ne se perdent pas, les enfant du villages vont souvent écouter de la bouche des anciens, les histoires du passé.
MIMOSE
Lorsque les voyageurs décident de traverser le Moot, il leur est possible d’éviter Oder Bipp en passant par Troumont. Mais ils ne peuvent éviter Mimose. Même si décident d’emprunter la route de Barlinton, ils entreront dans les faubourgs du village après avoir traversé les champs de blé et les vergers de pommiers et de pruniers longeant l’Aver. Il ya alors de forte chance que l’envie leur prennent d’aller visiter Mimose car le village est un ravissement pour les yeux. Les trous halflings, les jardins, et les routes du Moot sont généralement bien entretenu, et ceux de Mimose sont ce qui se fait mieux dans le Moot. Les Villageois mettent en effet un point d’honneur à ce que leur village soit le plus beau et le plus fleuri, a être les petits gens les plus accueillants possibles. L’ancien du village Hernest Grandcoeur aiment raconter des histoires au pied du grand chêne des âges qui orne la place du village, et inviter les voyageurs à flâner dans le marché et le plus grand trou échoppes du Moot. IL est de notoriété publique que ceux de Mimose désirent ardemment que la chefferie soit déplacée et que leur village ait enfin la place qu’il mérite.
MIRONDON
Sur la route qui court de Barlinton à Mimose le long d’un petit affluent de l’Aver (les petits gens le nomment Le Travers) se trouve un petit pont de pierre tout juste assez large pour laisser porter une carriole. La route qui se prolonge ensuite se perd dans les quelques collines qui bordent la rivière, et rien n’indique qu’il existe un village niché au creux si ce n’est par temps clair de minces panaches de fumée s’élèvent au loin. Il ya bien sur quelques parcelles de terres cultivées, mais on ne les aperçoit véritablement que lorsque l’on atteint les premières collines prés de Mirondon. C’est ici qu’en 2415 eu lieu la grande inondation. Le 18 Nachexen, la neige et la glace s’étant amoncelée a un tel point qu’elles arrêtèrent le cours de l’Aver. Mais la fonte des glaces libéra une quantité gigantesque d’eau qui déferla sur presque tout le pays en aval de Mirondon. Leurs trous étant inondés, les habitants se re refugiaient sur les collines, attendant la décrue qui se fit attendre deux jours.
Aujourd’hui, Mirondon est un charmant petit village qui semble perdu dans les collines du Moot. Etrangement les trous parsèment les collines sans ordres ni regroupement apparent et les routes rejoignant les trous ressemblent a de petits chemins de terre plus qu’a de belles routes. Chaque trou à un petit potager à son entrée ou sous ses fenêtres comme pour permettre a ses habitants de surveiller la pousse des légumes. C’est dans ce village qu’a lieu une fête pendant laquelle chaque famille espèrent remporter leur concours du plus gros légumes.
MARECHEUX
Le village de Marecheux n’a rien de bien attrayant en lui-même et la route qu’y mène finit en cul de sac sur la grande place du village. Non sans humour, le tavernier local, Faustmann Brasdacier, à nommer son trou taverne « Le bout du monde »
Lorsqu’on évoque Marécheux ce ne sont pas ces cultures situées au Nord du village dont on parle, ni des coquets trous regroupés autour de la place du village, mais bien des marais nauséabonds prés des deux rives de l’Aver au sud-est du village. Il y à quelque dizaine d’années, une source proche et abondante a en effet transformé en marécages les terrains environnants. La plupart des Halflings ne conçoivent pas comment ceux de Marecheux peuvent demeurer si proche de tels marais. Les habitants de Marecheux ne quitteront jamais leur village car ces marais qui leurs rendent la vie si difficiles sont aussi parfois d’une grande source de richesse. Quelques habitants de Marecheux font en effet commerces des herbes qui y poussent. Un herboriste compétent trouvera facilement une grande quantité d’herbe rare.
AGNYMONT
Agnymont est surement le lieu le plus secret du Mootland. Quartier général du célèbre Mootlandclan, son emplacement est connu des seuls membres du Clan. Cette citée serait d’origine elfique, elle contient le plus grand trésor pour un petit gens : des jardins, des greniers, des caves remplie de victuailles elfiques ramenées des quatre coins du vieux monde par les elfes d’antan. Ce précieux héritage est protégé par les redoutables membres du Mootlanclan.
Certaines rumeurs voudrait que la citée se trouverait quelque part dans la forêt barbue, mais beaucoup d’aventurier se sont casser la fourchette (expression du Moot) à recherché Agnymont. Un membre du Mootlandclan bien imbibée, dont je tairais le nom, ma décrit Agnymont comme une tour magnifique haute comme plusieurs géants, a l’intérieur le clan y aurait aménagé plusieurs mezzanines par étages. Ces sur ces mezzanines que les gnomes, halfling et autre membres du clan s’entraineraient, se nourriraient et participeraient à toutes sortes de rituels. Cette tour serait entourée par un mur d’enceinte en parfaite état, dans lequel se trouverait la cour intérieur emplie de jardins, de potagers luxuriants et de grand greniers débordant de vivres. Etre de garde sur le chemin de ronde ou dans la cour intérieur serait un grand honneur pour tous membres du clan. Mais c’est les seules brides que j’ai pu apprendre sur cette forteresse sacrée pour les petits gens.
Index géographique
Le Moot est composée de nombreux petits villages dont la plupart n’ont seulement que quelques familles. L’ensemble est administré par une capitale ou chefferie. La chefferie du Mootland est Granbourg que les petits gens nomment également ODER BIPP ce qui porte parfois à confusion pour les voyageurs. L’Ancien de Granbourg est Hisme Coeurvaillant.
Granbourg (Oder Bipp)
Oder Bipp est la chefferie du Mootland et c’est de loin le plus gros et le plus beau village du Moot. Il se situe a proximité de la Forêt barbue, au Nord ouest du Moot. C'est le premier village halfeling que l’on rencontre quand on franchit La Passe par le nord du pays. Le pot et la casserole est le relais de diligence de la canon ball express situé à l’entrée d’Oder Bipp. Chaque semaine, des étrangers arrivent par la diligence. Pour la plupart d’entre eux, ce n’est qu’une étape vers le l’Est. On y dine bien sur très bien. Les voyageurs peuvent y gouter les fameuses crêpes servies en quantité avec la gelée de groseille, du cidre de pomme et la Trouspinette. Cette boisson alcoolisée est fabriquée à partir de racine de la foret et de vin elfe. Ils repartent généralement avec, en main, un sac de gâteau sec au beurre et au miel.
Aucun mur d’enceinte n’entoure les villages petit gens dont les habitations sont bien trop dispersées. Ce qui en fait des villages ouverts aux voyageurs de passage. La chefferie n’est pas une exception. Pour le reste Oder Bipp ne ressemble à aucun autre village du Moot et constitue en quelque sorte la fierté de ses habitants. Les premiers petits gens a s’être installés dans cette région du Stirland occupèrent une sorte de fosse naturelle, profonde et large, dont le fond était tapissée d’une étrange végétation. Des arbres aux feuillages toujours verts et aux couleurs chatoyantes, des fleurs au parfum enivrants, des baies sauvages délicieuses et des petits gibiers : voila ce que les premiers halflings trouvèrent au fond de ce puits. Les halflings ont au fils des ans aménagé le site pour en faire le plus grand village du Moot.
Il y à prés de cinq cents halflings et une centaine de gnomes adulte qui vivent toute l’année a Oder Bipp. Le puits naturelle a été aménage de telle façon qu’une sorte de ville s’est créées tout autour et dans les parois sur un dénivelé de 200mètre environ. Des centaines de petites fenetres rondes et ovales, de portes et de traverses forment comme une sorte d’énormes ruches. Voir un tel spectacle est assez étonnant…et déconcertant également.
Les halflings n’ont jamais particulièrement brillé par leur architecture (originale peut être mais peu élaborée…). Le puits offre une pente douce, qui nécessite néanmoins une bonne assurance pour arriver en bas sans se blesser ou finir dans des ronces. Pour cela, les petits gens ont creusé des dizaines d’escaliers qui courent le long de la pente, s’arrêtant de temps à autre sur des terrasses ou des traverses pour enfin aboutir au fond du puits, quelque 200 mètres plus bas, au beau milieu d’un grand parc que les petits gens nomment Le Pâtis. C’est ici que se tiennent la majorité des discussions et que les fêtes ont lieu.
Dans les collines qui surplombent le puits naturelle d’Oder Bipp il ya plusieurs trou aménagés ainsi que deux moulins a vents qui appartiennent à différentes familles : Les Piedors, les Verdebois et les Couchefleurie. En 2512 il y eu un nouveau héro a Granbourg. Un halfling de la famille Couchefleurie (Gaspard) à dévoré 24 plats pour le diners. Les mets cuisinés pour son anniversaire, ses 90ans, étaient des plus variés. Des cuisseaux de mouton avec leur accompagnement, des jambons de cochon et des pâtes, des poulets rôtis, des tartes aux fruits, plusieurs brassées de cerise a la crème, un tonnelet de cidre et un autre de vin.
L’Auberge au fond du puits est l’auberge la plus fréquentée du Moot, c’est un lieu accueillant, les gens aiment venir s’y retrouver autour d’un verre de Mousseline (Une bière mélangé avec une sorte de crème fouettés), quelques amuses gueules et surtout profiter de la plus grande terrasses d’Oder Bipp. C’est un lieu de passage et on y rencontre énormément de voyageurs : des troubadours, des gnomes esclaffés et joyeux et surtout beaucoup d’aventuriers de passage, profitant d’une dernière escale avant un long voyage dangereux.
L’aubergiste Amaigrin Soufleverre, est un ancien aventurier qui aurait voyager jusqu’aux confins de l’Estalie, et qui aurait côtoyé un temps plusieurs groupes d’intriguant Estalien peut fréquentables…Amaigrin raconte à qui veut l’entendre ses histoires rocambolesques et passionnées, en exhibant fièrement sa cicatrice. Peu le croient mais il faut avouer que ces histoires ont quelque chose d’authentique.
Les Halles au Hines est le plus grand marché couvert du Mootland. On y retrouve de tout, car la famille Hine est en relation avec de nombreux marchands à travers le vieux monde. A vrai dire, la famille Hine est en relation avec tout le monde. Dans un trou de plus de 4000m², les Halles au Hine comportent de nombreuses boutiques et échoppes couvrant pratiquement tous les métiers du Moot. Bien sur, on vient des quatre coins du Moot pour flâner entre les étalages des échoppes, et discuter avec de lointains cousins ou gouter des plats.
LAMPOULE
Situé à l’est de la Petite Bordure Lampoule est un petit bourg calme entouré par des champs de blé. Les trous des petits gens sont regroupés sur les quelques douces collines qui bordent les routes qui mènent a Troumont, Oder Bipp et Vermont. A l’intersection de ces trois routes se trouvent une grande place sur laquelle sont établis de nombreux trou échoppes. C’est aussi ici que se tiennent les réunions convoqués par l’ancien, Thomas Piechenu. La vie quotidienne du village est marquée par les durs travaux des champs et la douce agitation caractéristique de la période de la moisson.
Cependant quand arrive l’automne un autre genre de folie s’empare progressivement des habitants de Lampoule. Tous guettent les nuages et la pluie, calculent les cycles de la lune, débattent de l’humidité des sous bois des heures autour d’une choppe a la taverne du bolet royal. Cette agitation culmine le jour des cueilleurs dont la date exacte diffère d’année en années et est fixée de façon très savante par l’ancien du village. Tous les petits gens du village pique nique dans une grande clairières au nord ouest du village. Et l’après midi la grande cueillette est lancé. Tous prennent la forêt d’assaut a la recherche du roi des bolets, le plus gros cèpe qui puissent être cueilli cet après midi la. En effet les champignons de cette forêt au nord ouest constituent toute la richesse du village, car il serait les meilleur de l’Empire.
VERMONT
Vermont est la patrie des petits gens pécheur et pisciculteur. Très étendu le village est lové contre la rivière Aver. Les trous sont située tous au sud de la rivière est orientée en direction de celle-ci afin que les habitants puissent toujours avoir un œil sur les étangs. D’innombrables canaux, alimentent pas les eaux de l’Aver depuis les Vannes, serpentent entre les collines au fond des petits vallons, parallèlement aux routes et chemins du villages et se rejoignent en de petits étangs qui marquent a chaque fois une séparation des routes terrestres. A chaque croisement entre les routes et les chenaux se trouve un petit pont. Tous ce réseau est tres fonctionnel et entretenu avec passion par les six petits gens de la guilde d’entretien des eaux, écluses, étangs et ponts. La seule échoppe du village est « le mangepoisse ». La réputation des truites de Vermont n’est plus à faire et leur saveur fait le bonheur de tous les palais du vieux monde.
TROUMONT
Ses habitants tirent leur richesse des quelques grand champignonnières qui sont disséminé dans les contreforts des collines du Ponant. La vie y est douce. La place du village est toujours très animée et les petits gens très accueillants. La proximité des vertes collines est souvent prétexte à des piques niques improvisé et autre promenades. Il n’est pas rare que les voyageurs choisissent de quitter la route principale pour passer par Troumont lors de leur traversée du Moot afin de profiter d la bonne humeur des habitants surtout lors de la fête annuelle des Laboures. En effet chaque année à la période des labours, a lieu le concours du plus beau cochon de trai.
Avant l’invasion de 1707 Troumont était un village prospère. Mais les orques dévastèrent le village et détruisirent les champignonnières. Ce fut a Troumont que furent perpétrées les pires horreurs par les peaux vertes. L’herbe des collines avait jauni et séchée et les champignonnières avait été abandonnées. La reconstruction de Troumont fut longue et le village n’a jamais retrouvé sa vitalité d’antan malgré tous les efforts de l’ancien. Johann Grandtronc.
Les voyageurs arrivent par le nord à Troumont laissant derrière eux les collines du Ponant et les champs verts et les vergers fleuris qui bordent le village. Ils longent deux petites deux petites collines entre lesquelles se trouvent l’ancienne grande place du village et les trous abandonnées qui la bordent. Puis ils pénètrent enfin dans le bourg dont les portes rondes des trous et les fenêtres cerclées de brique sont caractéristiques. Les petits gens hormis quelque exception sont plutôt moroses. Afin que la mémoire du village ne se perdent pas, les enfant du villages vont souvent écouter de la bouche des anciens, les histoires du passé.
MIMOSE
Lorsque les voyageurs décident de traverser le Moot, il leur est possible d’éviter Oder Bipp en passant par Troumont. Mais ils ne peuvent éviter Mimose. Même si décident d’emprunter la route de Barlinton, ils entreront dans les faubourgs du village après avoir traversé les champs de blé et les vergers de pommiers et de pruniers longeant l’Aver. Il ya alors de forte chance que l’envie leur prennent d’aller visiter Mimose car le village est un ravissement pour les yeux. Les trous halflings, les jardins, et les routes du Moot sont généralement bien entretenu, et ceux de Mimose sont ce qui se fait mieux dans le Moot. Les Villageois mettent en effet un point d’honneur à ce que leur village soit le plus beau et le plus fleuri, a être les petits gens les plus accueillants possibles. L’ancien du village Hernest Grandcoeur aiment raconter des histoires au pied du grand chêne des âges qui orne la place du village, et inviter les voyageurs à flâner dans le marché et le plus grand trou échoppes du Moot. IL est de notoriété publique que ceux de Mimose désirent ardemment que la chefferie soit déplacée et que leur village ait enfin la place qu’il mérite.
MIRONDON
Sur la route qui court de Barlinton à Mimose le long d’un petit affluent de l’Aver (les petits gens le nomment Le Travers) se trouve un petit pont de pierre tout juste assez large pour laisser porter une carriole. La route qui se prolonge ensuite se perd dans les quelques collines qui bordent la rivière, et rien n’indique qu’il existe un village niché au creux si ce n’est par temps clair de minces panaches de fumée s’élèvent au loin. Il ya bien sur quelques parcelles de terres cultivées, mais on ne les aperçoit véritablement que lorsque l’on atteint les premières collines prés de Mirondon. C’est ici qu’en 2415 eu lieu la grande inondation. Le 18 Nachexen, la neige et la glace s’étant amoncelée a un tel point qu’elles arrêtèrent le cours de l’Aver. Mais la fonte des glaces libéra une quantité gigantesque d’eau qui déferla sur presque tout le pays en aval de Mirondon. Leurs trous étant inondés, les habitants se re refugiaient sur les collines, attendant la décrue qui se fit attendre deux jours.
Aujourd’hui, Mirondon est un charmant petit village qui semble perdu dans les collines du Moot. Etrangement les trous parsèment les collines sans ordres ni regroupement apparent et les routes rejoignant les trous ressemblent a de petits chemins de terre plus qu’a de belles routes. Chaque trou à un petit potager à son entrée ou sous ses fenêtres comme pour permettre a ses habitants de surveiller la pousse des légumes. C’est dans ce village qu’a lieu une fête pendant laquelle chaque famille espèrent remporter leur concours du plus gros légumes.
MARECHEUX
Le village de Marecheux n’a rien de bien attrayant en lui-même et la route qu’y mène finit en cul de sac sur la grande place du village. Non sans humour, le tavernier local, Faustmann Brasdacier, à nommer son trou taverne « Le bout du monde »
Lorsqu’on évoque Marécheux ce ne sont pas ces cultures situées au Nord du village dont on parle, ni des coquets trous regroupés autour de la place du village, mais bien des marais nauséabonds prés des deux rives de l’Aver au sud-est du village. Il y à quelque dizaine d’années, une source proche et abondante a en effet transformé en marécages les terrains environnants. La plupart des Halflings ne conçoivent pas comment ceux de Marecheux peuvent demeurer si proche de tels marais. Les habitants de Marecheux ne quitteront jamais leur village car ces marais qui leurs rendent la vie si difficiles sont aussi parfois d’une grande source de richesse. Quelques habitants de Marecheux font en effet commerces des herbes qui y poussent. Un herboriste compétent trouvera facilement une grande quantité d’herbe rare.
AGNYMONT
Agnymont est surement le lieu le plus secret du Mootland. Quartier général du célèbre Mootlandclan, son emplacement est connu des seuls membres du Clan. Cette citée serait d’origine elfique, elle contient le plus grand trésor pour un petit gens : des jardins, des greniers, des caves remplie de victuailles elfiques ramenées des quatre coins du vieux monde par les elfes d’antan. Ce précieux héritage est protégé par les redoutables membres du Mootlanclan.
Certaines rumeurs voudrait que la citée se trouverait quelque part dans la forêt barbue, mais beaucoup d’aventurier se sont casser la fourchette (expression du Moot) à recherché Agnymont. Un membre du Mootlandclan bien imbibée, dont je tairais le nom, ma décrit Agnymont comme une tour magnifique haute comme plusieurs géants, a l’intérieur le clan y aurait aménagé plusieurs mezzanines par étages. Ces sur ces mezzanines que les gnomes, halfling et autre membres du clan s’entraineraient, se nourriraient et participeraient à toutes sortes de rituels. Cette tour serait entourée par un mur d’enceinte en parfaite état, dans lequel se trouverait la cour intérieur emplie de jardins, de potagers luxuriants et de grand greniers débordant de vivres. Etre de garde sur le chemin de ronde ou dans la cour intérieur serait un grand honneur pour tous membres du clan. Mais c’est les seules brides que j’ai pu apprendre sur cette forteresse sacrée pour les petits gens.
Dernière édition par Pieromonpoto le Mer 21 Jan - 17:40, édité 1 fois
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Re: Le bureau
LES CHASSEURS
La troupe des chasseurs ou flècheurs utilise l’arc, c’est le contingent qui entretient le plus de soldats. En effet c’est avec ce groupe que tous les petits-gens font leurs premiers pas d’apprentis guerriers. A sa majorité, chaque halfling, chaque gnome rejoint les chasseurs pour une période d’un an au terme de laquelle les recruteurs les orientent vers les régiments correspondants le mieux à leurs aptitudes ou les renvoie à la vie civile. La mission de ce bataillon est essentielle au Mootland car ce sont eux qui patrouillent les frontières de la province assurant l’intégrité du territoire. Ainsi ils combattent presque chaque jour les incursions des hommes-bêtes et des gobelins qui rêveraient de piller les riches greniers du Moot. Ils combattent à distance et son réputés pour leur discrétion ils n’ont par conséquent à souffrir que de peu de pertes et les jeunes soldats ont donc l’occasion de s’aguerrir sans prendre trop de risques. J’ai pour ma part passé une semaine de patrouille en leur compagnie et je peux attester de la bonne humeur avec laquelle les cadets sont formés. Par bonheur cette semaine-ci fut calme et nous ne rencontrâmes aucuns ennemi.
La troupe des chasseurs ou flècheurs utilise l’arc, c’est le contingent qui entretient le plus de soldats. En effet c’est avec ce groupe que tous les petits-gens font leurs premiers pas d’apprentis guerriers. A sa majorité, chaque halfling, chaque gnome rejoint les chasseurs pour une période d’un an au terme de laquelle les recruteurs les orientent vers les régiments correspondants le mieux à leurs aptitudes ou les renvoie à la vie civile. La mission de ce bataillon est essentielle au Mootland car ce sont eux qui patrouillent les frontières de la province assurant l’intégrité du territoire. Ainsi ils combattent presque chaque jour les incursions des hommes-bêtes et des gobelins qui rêveraient de piller les riches greniers du Moot. Ils combattent à distance et son réputés pour leur discrétion ils n’ont par conséquent à souffrir que de peu de pertes et les jeunes soldats ont donc l’occasion de s’aguerrir sans prendre trop de risques. J’ai pour ma part passé une semaine de patrouille en leur compagnie et je peux attester de la bonne humeur avec laquelle les cadets sont formés. Par bonheur cette semaine-ci fut calme et nous ne rencontrâmes aucuns ennemi.
Re: Le bureau
Manque chrono a finir et j'ai mis a jour lzq villages du moot
Histoire du Moot
La première fois que le nom de « Mootland » fut prononcé sans que l’on hausse les sourcils en signe d’interrogation et de perplexité fut quelques années après la mise en place de la charte impériale édictée en l’an 1000 par Ludwig le Gros (devenu plus tard Ludwig l’immense), qui était alors proclamée Empereur. En reconnaissance des grands services rendu au cuisines (et parce que la grande comtesse Ottila du Stirland avait refusé de l’épouser), L’Empereur concéda a ces petits êtres rondouillards une partie du Stirland, qui serait administré selon leur coutumes en vigueur, et par lequel le grand ancien, qui était en quelque sorte le chef suprême de la communauté obtiendrait un droit de vote lors des élections impériales. Il fallut attendre encore quelques années pour que le Mootland, plus connu de nos jours sous le nom de Moot, ne fasse partie intégrante du vocabulaire fréquemment utilisée a la cours des palais et parmi les populaces. Ainsi c’est précisément en 1003 du calendrier impérial, et à la parution du troisième tome de l’Almanach du Mootland, que le nom de « Mootland » pris sa place dans le thesaurus impériale entre les mots « monumentale » et « moque », ironie du sort peut être.
A partir de cette date, il est alors intéressant de montrer a quel points les halflings ont pu intégrer une nouvelle société qui comportait de nombreuse divergences avec les autres comtés constituant l’empire. Le Mootland tire son nom des réunions hiératiques que tiennent régulièrement les petits gens et qu’ils nomment les « meetings », se voyait entouré par trois provinces qui sont respectivement le Stirland au Nord, L’Averland au sud, et la Sylvanie à l’est. Il faut preciser néanmoins que cette région du Stirland se trouvait déjà occupé par une communauté de petits gens, bien avant l’édit de la fameuse charte impériale de Ludwig le Gros, et que la grande comtesse Ludmilla Von Schoner qui gérait alors le grand comté du Stirland en 967, ne voyait aucune gène à que cette peuplade pacifique ne vive sur ces terres sans réel acte législatif ou statutaire, si ce n’est un certains droit de regard sur les activités de la communauté. Un droit que les petits gens qualifièrent gentiment de « pacte de Nougatine », du fait de la légèreté avec lequel était appliqué ce décret. Aussi, quand le Mootland rentra dans la charte impériale et qu’il faisait maintenant partie de l’un des 15 ascendants élisant le pouvoir, il était déjà constitué en une sorte d’état autonome qui avait élaboré ses propres règles et conventions selon des coutumes vieilles de plusieurs siècles. Le calendrier Halfling ne prend pas en compte des années precedant l’édit de Ludwig le Gros et débute ainsi à l’an 1000 du calendrier impérial.
En 1110, lors du règne fallacieux de Boris l’incompétent, les relations entre le Mootland et les autorités Stirlandaises s’envenimèrent considérablement. Il faut préciser que cette partie de l’histoire se base sur un malentendu grotesque, provoqué par Berlicht von Hassendisch, alors grand comte de Stirland, et grand manipulateur de conscience. Le grand comte de Stirland qui s’était attiré momentanément les faveurs de l’empereur présenta à ce dernier une proposition qui allait changer le cours de l’histoire. Sur décret de l’Empereur, le Mootland fut contraint d’envoyer des cuisiniers un peu partout dans l’empire. La communauté petit gens, fière de son appartenance a la charte impériale, respecta la loi. Fort de 24 000 âmes, soit la double de la capitale impériale, le Mootland envoya ainsi ces meilleurs éléments au quatre coins de l’empire. Cela provoqua un déséquilibre important dans la communauté…
Mais en 1111, une terrible épidémie, la peste noire déferla comme un raz de marée sur l’empire, du fait de la surpopulation des villes et du manque évident de vivres. Boris mourru quelques mois plus tard, emporté lui aussi par ce terrible fléau virulent. Le grand comte de Stirland retourna a ses frasques et le Mootland continua a prospérer tant bien que mal au milieu de ces grandes nations…
L’âge des guerres n’atteignit pas la communauté petits gens, et de 1152 à 1358, ce sont des dizaines de batailles qui firent rage au sein de l’Empire tandis que pratiquement toutes les provinces se déclaraient la guerre mutuellement. Des affrontements eurent lieu dans le comté de Stirland, sur un champ de bataille tout prés du Mootland que les petits gens nommèrent, par la suite, « Les Malpentes ». La participation du petit peuple au affrontement ne fut qu’occasionnelle. Les armées alliées traversaient ainsi le Mootland s’emparant des riches récoltes des fermiers petits gens. Mais c’était une époque de guerre, et l’avènement du nouvel empereur Herpin Von Taschentuch, ancien grand duc du Stirland en 1359, ne changea rien. Durant la terrible bataille des « Eclosions » qui prit lieu en 1298 et qui opposa le comté de Stirland a celui de l’Averland. Un halfling du nom de Borin Foragout réussit a s’infiltrer discrètement dans les cuisines des deux camps alors établie proche du Mootland, et versa dans les immenses chaudrons qui servaient à alimenter les armée et les combattants, une épice particulièrement relevée et provoquant de forte douleur au ventre. Le lendemain, le champ de bataille se trouva quasiment déserté comme pratiquement aucun homme ne pouvait rester plus de quelque minute sans courir derrière un buisson pour se soulager… Cet acte, jugé pernicieux et déplacé par les deux comtés, de même que par l’Ancien de la communauté, n’envenima pas les relations entre le Mootland et ses voisins.
Mais après cette époque troublée et dévastatrice, les événements devait se compliqué avec l’élection d’un nouvel empereur qui voyait se profilé a l’horizon un âge insolite, celui des trois empereurs. Il n’est pas très important à ce niveau de l’histoire de revenir sur cette époque qui fut fiévreuse, un âge qui prit naissance en 1360 et qui se termina en 400 ans plus tard, en 1764, et baptisé les « âges sombres ». Durant les nombreux conflits qui se déroulèrent lors de l’âge des guerres, la communauté petits gens renforça son indépendance, fortes des expériences désastreuses précédentes. A l’instar des autres provinces de l’empires, des péages furent installés en bordure du Mootland, récoltant non seulement une taxe mais établissant surtout un contrôle autant au niveau moral que social. Cette nouvelle disposition ne déclencha aucune animosité particulière des autres comtés, perdus dans leurs propres affaires politiques, et le Mootland se voyait ainsi définitivement installé au même rang que les autres comtés. L’empire voyait ses racines rongées par les forces grandissantes du Chaos…
En 1707, le Mootland, comme une grande partie des territoires de l’Empire, est envahie par les hordes gobelinoïdes de Gorbad Griffe de Fer. Le Moot est mis a sac, et les petits gens se souviendront de cette période comme celle de « Moot-le vert »
Un fait marquant remis au gout du jour l’intérêt que l’on pouvait porter à cette petite peuplade pacifique et a cette région vallonnée. Un fait qui porte encore de nos jours une aura de mystère… En 2302, un plénipotentiaire impérial en mission dans le Mootland mis la main sur une édition de l’Almanach datant de l’année 2279, une édition qui devait comporter nombres de détails dérangeant pour qui avoir même une faible confiance dans les signes divins et autres augures. En effet, il est fait mention dans ce deux mille deux cents soixante dix neuvième tomes d’une étude portée par un certain Erisme sur le passage dans le ciel d’une étrange boule lumineuse blanchâtre, et qui laissait derrière elle deux grandes trainées comme deux grandes couettes. Il faut être peu crédule pour voir en cette manifestation astrale un rapprochement évident avec la légende qui entoure le personnage de Sigmar Heldenhammer, selon laquelle le jour de sa naissance fut annoncé par de violente tempête et le passage d’une comète a deux queues dans le ciel. Les petits gens connaissaient, 24 ans plus tôt, de la venue d’un nouveau rédempteur, qui allait se manifester en temps voulu en la personne de Magnus le Pieux pour sauver l’empire des invasions chaotiques…De nombreuses questions naquirent dans les esprits troublés par cette découverte. Quoi qu’il en soit, le Mootland pris a partir de cette époque une certaine importance auréolé de mystère.
Le gigantesque combat qui mena Magnus le Pieux contre les forces corruptrices du Chaos en 2303 vit la toute première participation du petit peuple à un conflit de taille et d’importance capitale. Ainsi à l’instar des autres provinces du vieux monde, le Mootland reçu la visite de cavaliers porteurs d’un message de Magnus, demandant a la communauté Petits gens de participer au conflit qui se préparait à l’est, sur les terres du Tsar de Kislev. Les petits gens du Mootland furent la deuxième peuplade non- humaine dans l’histoire de l’Empire à s’unir et à participer a une des luttes les plus décisives et les plus considérables contre le chaos .(la première étant les nains des montagnes du bout du monde, sous le règne du roi Kargan, qui avait déjà participé à la formidable bataille du col du feu noir une année avant le couronnement de Sigmar a Reikdorf).Fortes des troupes aguerris des nombreuses comtés qui composent l’empire et des armées Kislevites prêtes a obéir aux ordres de leur commandeur suprême, l’armée impériale de Magnus le Pieux parti affronter les forces du chaos avec en sus une unité de fantassins petit gens accompagnés de nombreux cuisiniers. On peut dire que cette aide contribua grandement au moral des troupes et à l’élan valeureux qui dressa l’armée contre les forces démoniaques qui se dressaient en bordures de Kislev. A la fin de l’affrontement, Magnus le Pieux dit « Les Halflings et les gnomes du Mootland sont de petits gens qui accomplissent malgré cela de grande chose. La communauté petit gens venait de retrouver une place incontestable au sein de l’empire en cette époque sombre et tourmentée par le Chaos, et la conserva jusqu’ ‘à nos jour.
CHRONOLOGIE
Calendrier du Moot
-4oo Implantation des premiers halflings dans les terres du Stirland
-298 Création de Ober-Bipp, tenu du premier meeting, et élection du premier grand ancien.
-125 Harold Forgout, devient premier cuisinier au service de l’empereur
0 Edit de Ludwig le Gros, le Mootland devient province de l’empire. Et obtiennent un droit de vote lors des éléctions Impériale.
1 Lors d’une grande fête pour fêter l’indépendance du Moot, Milt Pansedogre avale pas moins de 30 plats et plus de 10 litres de boisson, lors d’un défi avec son ogre de garde. Il devient le premier héro du Moot. La légende veut que son ogre meure le lendemain de surnutrition.
55 Edition du premier « le guide petit gens de la cuisines », plus de 8000 pages recto-verso de recette de cuisines, il est vendu a plus de 5000 exemplaires, soit le nombre du foyer du Moot.
110 Edit de Boris l’incompétent, une partie de l’élite cuisinière est déporté au quatre coins de l’Empire.
115 Les halfling relativement miraculeusement immunisé a la peste noir, sont utilisée dans les hospice pour nourrir et guérir les malades. Mais les skavens attaquent les réserve de Oder-Bipp, une groupe de gnome ivre et une poignée d’halfling fou de rage repousse les Skavens hors du moot, après une bataille mémorable.
298 Boris Foragout infiltre les cuisines de l’Averland et du Stirland, et y empoisonne la marmite des soldats avec une épice surpuissante, le conflit est annulé et de nombreuses vies sont sauvées. Le « Foragout » désigne maintenant une technique de résoudre les conflits par la cuisine.
360 L’âge sombre permet au Moot de se développer et de s’affirmer, pendant que l’empire est
A 707 plongé dans des tumultes politiques. Les péages sont installés aux frontières du Moot.
707 « Moot le vert », Invasion de Gordad Griffe de Fer. Le Moot est mis à sac par les hordes Gobelinoîde
7O8 Le grand Ancien réuni secrètement les héro des invasions peaux vertes, le conseil des 10 est pour la première fois réuni, et le Mootlandclan est crée. Sa mission protégée et servir le Moot.
850 Le premier cochon Pata negra est crée par la famille Justbridou, après une après une sélection des cochon les gras et les plus gros
951 Lors d’une expédition du conseil du clan, la cité légendaire d’Agnymont, et son trésor, sont découverte par hasard. Le conseil décide de s’y installer et de protéger ce saint graal culinaire.
1015 Une armée comte Vampire est mis en déroute par le Mootlandclan, un membre du clan réussit à remplacer le sang frais destinée a l’état major de l’armée, par de la confiture de Groseille a l’ail. Les généraux et leur armée retournèrent à la terre. Depuis ce temps, le Moot est une terre maudite par les vampires.
Histoire du Moot
La première fois que le nom de « Mootland » fut prononcé sans que l’on hausse les sourcils en signe d’interrogation et de perplexité fut quelques années après la mise en place de la charte impériale édictée en l’an 1000 par Ludwig le Gros (devenu plus tard Ludwig l’immense), qui était alors proclamée Empereur. En reconnaissance des grands services rendu au cuisines (et parce que la grande comtesse Ottila du Stirland avait refusé de l’épouser), L’Empereur concéda a ces petits êtres rondouillards une partie du Stirland, qui serait administré selon leur coutumes en vigueur, et par lequel le grand ancien, qui était en quelque sorte le chef suprême de la communauté obtiendrait un droit de vote lors des élections impériales. Il fallut attendre encore quelques années pour que le Mootland, plus connu de nos jours sous le nom de Moot, ne fasse partie intégrante du vocabulaire fréquemment utilisée a la cours des palais et parmi les populaces. Ainsi c’est précisément en 1003 du calendrier impérial, et à la parution du troisième tome de l’Almanach du Mootland, que le nom de « Mootland » pris sa place dans le thesaurus impériale entre les mots « monumentale » et « moque », ironie du sort peut être.
A partir de cette date, il est alors intéressant de montrer a quel points les halflings ont pu intégrer une nouvelle société qui comportait de nombreuse divergences avec les autres comtés constituant l’empire. Le Mootland tire son nom des réunions hiératiques que tiennent régulièrement les petits gens et qu’ils nomment les « meetings », se voyait entouré par trois provinces qui sont respectivement le Stirland au Nord, L’Averland au sud, et la Sylvanie à l’est. Il faut preciser néanmoins que cette région du Stirland se trouvait déjà occupé par une communauté de petits gens, bien avant l’édit de la fameuse charte impériale de Ludwig le Gros, et que la grande comtesse Ludmilla Von Schoner qui gérait alors le grand comté du Stirland en 967, ne voyait aucune gène à que cette peuplade pacifique ne vive sur ces terres sans réel acte législatif ou statutaire, si ce n’est un certains droit de regard sur les activités de la communauté. Un droit que les petits gens qualifièrent gentiment de « pacte de Nougatine », du fait de la légèreté avec lequel était appliqué ce décret. Aussi, quand le Mootland rentra dans la charte impériale et qu’il faisait maintenant partie de l’un des 15 ascendants élisant le pouvoir, il était déjà constitué en une sorte d’état autonome qui avait élaboré ses propres règles et conventions selon des coutumes vieilles de plusieurs siècles. Le calendrier Halfling ne prend pas en compte des années precedant l’édit de Ludwig le Gros et débute ainsi à l’an 1000 du calendrier impérial.
En 1110, lors du règne fallacieux de Boris l’incompétent, les relations entre le Mootland et les autorités Stirlandaises s’envenimèrent considérablement. Il faut préciser que cette partie de l’histoire se base sur un malentendu grotesque, provoqué par Berlicht von Hassendisch, alors grand comte de Stirland, et grand manipulateur de conscience. Le grand comte de Stirland qui s’était attiré momentanément les faveurs de l’empereur présenta à ce dernier une proposition qui allait changer le cours de l’histoire. Sur décret de l’Empereur, le Mootland fut contraint d’envoyer des cuisiniers un peu partout dans l’empire. La communauté petit gens, fière de son appartenance a la charte impériale, respecta la loi. Fort de 24 000 âmes, soit la double de la capitale impériale, le Mootland envoya ainsi ces meilleurs éléments au quatre coins de l’empire. Cela provoqua un déséquilibre important dans la communauté…
Mais en 1111, une terrible épidémie, la peste noire déferla comme un raz de marée sur l’empire, du fait de la surpopulation des villes et du manque évident de vivres. Boris mourru quelques mois plus tard, emporté lui aussi par ce terrible fléau virulent. Le grand comte de Stirland retourna a ses frasques et le Mootland continua a prospérer tant bien que mal au milieu de ces grandes nations…
L’âge des guerres n’atteignit pas la communauté petits gens, et de 1152 à 1358, ce sont des dizaines de batailles qui firent rage au sein de l’Empire tandis que pratiquement toutes les provinces se déclaraient la guerre mutuellement. Des affrontements eurent lieu dans le comté de Stirland, sur un champ de bataille tout prés du Mootland que les petits gens nommèrent, par la suite, « Les Malpentes ». La participation du petit peuple au affrontement ne fut qu’occasionnelle. Les armées alliées traversaient ainsi le Mootland s’emparant des riches récoltes des fermiers petits gens. Mais c’était une époque de guerre, et l’avènement du nouvel empereur Herpin Von Taschentuch, ancien grand duc du Stirland en 1359, ne changea rien. Durant la terrible bataille des « Eclosions » qui prit lieu en 1298 et qui opposa le comté de Stirland a celui de l’Averland. Un halfling du nom de Borin Foragout réussit a s’infiltrer discrètement dans les cuisines des deux camps alors établie proche du Mootland, et versa dans les immenses chaudrons qui servaient à alimenter les armée et les combattants, une épice particulièrement relevée et provoquant de forte douleur au ventre. Le lendemain, le champ de bataille se trouva quasiment déserté comme pratiquement aucun homme ne pouvait rester plus de quelque minute sans courir derrière un buisson pour se soulager… Cet acte, jugé pernicieux et déplacé par les deux comtés, de même que par l’Ancien de la communauté, n’envenima pas les relations entre le Mootland et ses voisins.
Mais après cette époque troublée et dévastatrice, les événements devait se compliqué avec l’élection d’un nouvel empereur qui voyait se profilé a l’horizon un âge insolite, celui des trois empereurs. Il n’est pas très important à ce niveau de l’histoire de revenir sur cette époque qui fut fiévreuse, un âge qui prit naissance en 1360 et qui se termina en 400 ans plus tard, en 1764, et baptisé les « âges sombres ». Durant les nombreux conflits qui se déroulèrent lors de l’âge des guerres, la communauté petits gens renforça son indépendance, fortes des expériences désastreuses précédentes. A l’instar des autres provinces de l’empires, des péages furent installés en bordure du Mootland, récoltant non seulement une taxe mais établissant surtout un contrôle autant au niveau moral que social. Cette nouvelle disposition ne déclencha aucune animosité particulière des autres comtés, perdus dans leurs propres affaires politiques, et le Mootland se voyait ainsi définitivement installé au même rang que les autres comtés. L’empire voyait ses racines rongées par les forces grandissantes du Chaos…
En 1707, le Mootland, comme une grande partie des territoires de l’Empire, est envahie par les hordes gobelinoïdes de Gorbad Griffe de Fer. Le Moot est mis a sac, et les petits gens se souviendront de cette période comme celle de « Moot-le vert »
Un fait marquant remis au gout du jour l’intérêt que l’on pouvait porter à cette petite peuplade pacifique et a cette région vallonnée. Un fait qui porte encore de nos jours une aura de mystère… En 2302, un plénipotentiaire impérial en mission dans le Mootland mis la main sur une édition de l’Almanach datant de l’année 2279, une édition qui devait comporter nombres de détails dérangeant pour qui avoir même une faible confiance dans les signes divins et autres augures. En effet, il est fait mention dans ce deux mille deux cents soixante dix neuvième tomes d’une étude portée par un certain Erisme sur le passage dans le ciel d’une étrange boule lumineuse blanchâtre, et qui laissait derrière elle deux grandes trainées comme deux grandes couettes. Il faut être peu crédule pour voir en cette manifestation astrale un rapprochement évident avec la légende qui entoure le personnage de Sigmar Heldenhammer, selon laquelle le jour de sa naissance fut annoncé par de violente tempête et le passage d’une comète a deux queues dans le ciel. Les petits gens connaissaient, 24 ans plus tôt, de la venue d’un nouveau rédempteur, qui allait se manifester en temps voulu en la personne de Magnus le Pieux pour sauver l’empire des invasions chaotiques…De nombreuses questions naquirent dans les esprits troublés par cette découverte. Quoi qu’il en soit, le Mootland pris a partir de cette époque une certaine importance auréolé de mystère.
Le gigantesque combat qui mena Magnus le Pieux contre les forces corruptrices du Chaos en 2303 vit la toute première participation du petit peuple à un conflit de taille et d’importance capitale. Ainsi à l’instar des autres provinces du vieux monde, le Mootland reçu la visite de cavaliers porteurs d’un message de Magnus, demandant a la communauté Petits gens de participer au conflit qui se préparait à l’est, sur les terres du Tsar de Kislev. Les petits gens du Mootland furent la deuxième peuplade non- humaine dans l’histoire de l’Empire à s’unir et à participer a une des luttes les plus décisives et les plus considérables contre le chaos .(la première étant les nains des montagnes du bout du monde, sous le règne du roi Kargan, qui avait déjà participé à la formidable bataille du col du feu noir une année avant le couronnement de Sigmar a Reikdorf).Fortes des troupes aguerris des nombreuses comtés qui composent l’empire et des armées Kislevites prêtes a obéir aux ordres de leur commandeur suprême, l’armée impériale de Magnus le Pieux parti affronter les forces du chaos avec en sus une unité de fantassins petit gens accompagnés de nombreux cuisiniers. On peut dire que cette aide contribua grandement au moral des troupes et à l’élan valeureux qui dressa l’armée contre les forces démoniaques qui se dressaient en bordures de Kislev. A la fin de l’affrontement, Magnus le Pieux dit « Les Halflings et les gnomes du Mootland sont de petits gens qui accomplissent malgré cela de grande chose. La communauté petit gens venait de retrouver une place incontestable au sein de l’empire en cette époque sombre et tourmentée par le Chaos, et la conserva jusqu’ ‘à nos jour.
CHRONOLOGIE
Calendrier du Moot
-4oo Implantation des premiers halflings dans les terres du Stirland
-298 Création de Ober-Bipp, tenu du premier meeting, et élection du premier grand ancien.
-125 Harold Forgout, devient premier cuisinier au service de l’empereur
0 Edit de Ludwig le Gros, le Mootland devient province de l’empire. Et obtiennent un droit de vote lors des éléctions Impériale.
1 Lors d’une grande fête pour fêter l’indépendance du Moot, Milt Pansedogre avale pas moins de 30 plats et plus de 10 litres de boisson, lors d’un défi avec son ogre de garde. Il devient le premier héro du Moot. La légende veut que son ogre meure le lendemain de surnutrition.
55 Edition du premier « le guide petit gens de la cuisines », plus de 8000 pages recto-verso de recette de cuisines, il est vendu a plus de 5000 exemplaires, soit le nombre du foyer du Moot.
110 Edit de Boris l’incompétent, une partie de l’élite cuisinière est déporté au quatre coins de l’Empire.
115 Les halfling relativement miraculeusement immunisé a la peste noir, sont utilisée dans les hospice pour nourrir et guérir les malades. Mais les skavens attaquent les réserve de Oder-Bipp, une groupe de gnome ivre et une poignée d’halfling fou de rage repousse les Skavens hors du moot, après une bataille mémorable.
298 Boris Foragout infiltre les cuisines de l’Averland et du Stirland, et y empoisonne la marmite des soldats avec une épice surpuissante, le conflit est annulé et de nombreuses vies sont sauvées. Le « Foragout » désigne maintenant une technique de résoudre les conflits par la cuisine.
360 L’âge sombre permet au Moot de se développer et de s’affirmer, pendant que l’empire est
A 707 plongé dans des tumultes politiques. Les péages sont installés aux frontières du Moot.
707 « Moot le vert », Invasion de Gordad Griffe de Fer. Le Moot est mis à sac par les hordes Gobelinoîde
7O8 Le grand Ancien réuni secrètement les héro des invasions peaux vertes, le conseil des 10 est pour la première fois réuni, et le Mootlandclan est crée. Sa mission protégée et servir le Moot.
850 Le premier cochon Pata negra est crée par la famille Justbridou, après une après une sélection des cochon les gras et les plus gros
951 Lors d’une expédition du conseil du clan, la cité légendaire d’Agnymont, et son trésor, sont découverte par hasard. Le conseil décide de s’y installer et de protéger ce saint graal culinaire.
1015 Une armée comte Vampire est mis en déroute par le Mootlandclan, un membre du clan réussit à remplacer le sang frais destinée a l’état major de l’armée, par de la confiture de Groseille a l’ail. Les généraux et leur armée retournèrent à la terre. Depuis ce temps, le Moot est une terre maudite par les vampires.
Floodman- Artisan Créateur
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Localisation : Chassamoot
Re: Le bureau
a intercaler entre vermont et troumont
HEIMLICHT
Heimlicht fut fondé en peu de temps après le retrait des troupes orques ayant participées à l’invasion de 1707. Il est le plus jeune village du Moot construit en lieu et place d’un village ayant appartenu au comté de Stirland avant l’édit de Ludwig le gros. Sa seconde particularité est qu’il est le seul a abriter en son sein des habitations humaines. Situé sur la grande route qui traverse le pays petits gens, il empiète sur la bordure. Les trous des petits gens sont situés dans quelques collines à la lisière de la forêt tandis que les habitations humaines sont un peu plus enfoncées dans les bois.
CONFIE ET BARLINTON
Confie et Barlinton sont situés sur les deux rives opposées d’un affluent de l’Aver prenant sa source dans les Malpentes. Même si les places centrales des deux villages sont éloignées, les deux bourgs sont suffisamment étendus pour se rejoindre. De plus ils se trouvent à proximité d’Oder Bipp, sur la route principale qui traverse le Moot du Nord au Sud.
Suite à l’invasion de 1707 il fut décidé de donner une orientation martiale à ces deux villages à l’emplacement stratégique avantageux. Les Halflings ont développé une petite milice afin de se défendre en cas de besoin et les camps d’entrainement dans lesquels tous se doivent au moins de passer quelque mois ont été établis entre Confie et Barlinton. La vie de ces deux villages est donc rythmée par les manœuvre militaires des conscrits.
et a mettre a la fin des villages
LES FORETS ET LES COLLINES DU MOOT
La forêt barbue
Ce bois sombre et calme qui s’étend au nord ouest du Mootland tire son nom d’une espèce mousse verdâtre, parfois grisâtre qui semble pousser le tronc des arbres et sur les rochers, et qui pend des branches telle la barbe d’un vieillard. C’est un phénomène assez curieux, et de prime abord on pourrait penser que cette foret a subis les effets pervers du chaos tellement son aspect peut paraitre repoussant. Qui s’enfonce plus profondément sous les frondaisons épaisses de la forêt découvrira un autre monde bercé par les piaillements et les sifflements des oiseaux et les cris des animaux qui y vivent. Mais surtout il prendra surtout conscience des étranges plantes et des diverses fleurs qui s’y sont développées, des arbustes et des vieux arbres qui semblent ployer sous le poids des ans. A n’importe quelle période de l’année l’air y est frais, chargé de milles senteurs, véhiculant un message mystiques et mystérieux. Une herbe épaisse tapis le sol de la forêt, malgré les faibles rayons de soleil qui arrivent a percé l’entrelac de branchage et de feuilles. Aucune brise ne vient troubler le repos des sous bois si ce n’est de temps a autre un étrange murmure, une litanie bruissante comme si un musicien jouait de mille instruments a vent. Les conteurs de la forêt disent que la forêt vous regarde de temps à temps, comme si des centaines d’yeux épiaient le moindre de vos mouvements, le geste le plus anodin. Curieusement, aucun feu ne peut tenir dans cette forêt et ceux qui s’y sont risqué vous le diront avec certitude : le bois de cette forêt ne peut pas bruler, ou plutôt ne veut pas. Les petits gens ne s’aventurent que très rarement dans ces sous bois, et lorsqu’ils s’enfoncent entre les vieux arbres a l’écorce moussue, c’est a la recherche de plantes médicinales, de remèdes, d’herbes aromatiques ou pour un rendez vous amoureux et secret. La forêt barbue tient une place prépondérante dans les contes et légendes du Mootland et nombreuses sont les histoires merveilleuses mais néanmoins frissonnantes qui y prennent source.
En fait, la forêt barbue sert de refuge à une petite mais solide communauté d’homme arbres. Ils vivent manifestement dans cette forêt depuis la période antique et a l’instar de leur rares semblables qui habitent de grandes forêt comme celle de Laurelorn ou du Reik, ils tendent a se faire de plus en plus discrets et à ne s’occuper que des affaires qui les concernent personnellement.
Mais il existe de nombreuse autre forêt dans le Moot, la trouée et la bordure qui contient de drole de pierre magique. Et la grande trouée borde le Mootland a son frontière est, et est la plus grande de tous, elle est le royaume des mystérieux elfe sylvains.
Les Malpentes
Il s’agit d’une zone située précisement dans le comté de Stirland, au Nord est du Mootland. C’est une terre vaste parcourue par des grandes collines et des terres envahies par des herbes folles. Plusieurs combats firent rages en ce lieu, durant ces sombre années qui virent se dechirer les grandes familles de l’empire en d’incessante guerre. Les dates ne manquent pas pour dénombrer les affrontements et les paysages s’en est d’ailleurs retrouvé changé. Car qui se promène un jour entre ces collines pourra apercevoir quelques vieux casques rouillés habités par un couple de musaraignes, ici des boucliers au blasons anciens ou encore des lames métalliques déformées qui dépassent d’un talus. On peut parfois y déchiffrer quelques armoiries comme celle du Stirland, de l’Averland et de clans nains. Un promeneur du soir ou un voyageur égaré pourra apercevoir sur les crêtes des collines au loin, des groupes déambuler, troupes se rendant au combat, accompagné par le hennissement des chevaux… C’est une région constamment balayée par les vents, donnant ainsi l’odeur de sang et de poussière, de sueur et de mort. Les petits gens du Moot ont plusieurs noms pour ces terres de désolation : Certains l’appellent les collines de sang ou la petite désolation, le nom le plus répandu restant les Malpentes.
Les collines du Ponant.
A l’ouest du Mootland, entre la forêt barbue au nord ouest, et la trouée au sud ouest, et par delà de Troumont et l’Ampoule s’étend un doux vallonnement que les petits gens ont nommé les collines du Ponant. C’est un paysage tout en rondeur, sans arbre ni haie ; seuls quelques tertres constituée de pierre jaunes s’amoncellent ça-et-là. L’herbe y est douce, aucun arbre ne vient cacher le paysage, et si l’on se dresse au sommet de la plus haute colline, on peut apercevoir la lisière de la grande trouée a l’est, et de l’autre coté du Mootland, et contempler les étendue herbeuses de l’ouest d’où montent quelques trainées de fumées. Durant le raid et la mise a sac de cette époque troublée, les hordes de gobelins et d’orques avaient installé leur campement au milieu de ce doux paysage, proche de la plus haute colline. Ce fut une guerre terrible, et surtout un massacre sans précédent pour les petits gens. Beaucoup perdirent leurs familles et tous leurs biens les plus chers. Les petits gens mirent des années à s’en remettre et depuis ces temps, les collines du Ponant sont restées presque inhabitée.
Le sémaphore halfling
A la demande de l’empire, les halflings ont érigé sur la plus haut colline du Ponant un sémaphore, l’une de ces nombreuses tours qui jalonnent l’empire et permettent ainsi d’acheminer des informations en les relayant fidèlement d’un sémaphore à l’autre jusqu'à son destinataire final bien plus vite et plus loin que ne le font les coursiers.
La sémaphore a été érigé en 2511 du calendrier impériale et fait partie des fiertés des habitants de Hauterrier. Comme tous les autres dans l’empires, il a été construit par deux engingneurs nains, aidés dans leur taches par « les architectes » les plus doués du Moot. Il à la même efficacité que ses cousin impériaux.
HEIMLICHT
Heimlicht fut fondé en peu de temps après le retrait des troupes orques ayant participées à l’invasion de 1707. Il est le plus jeune village du Moot construit en lieu et place d’un village ayant appartenu au comté de Stirland avant l’édit de Ludwig le gros. Sa seconde particularité est qu’il est le seul a abriter en son sein des habitations humaines. Situé sur la grande route qui traverse le pays petits gens, il empiète sur la bordure. Les trous des petits gens sont situés dans quelques collines à la lisière de la forêt tandis que les habitations humaines sont un peu plus enfoncées dans les bois.
CONFIE ET BARLINTON
Confie et Barlinton sont situés sur les deux rives opposées d’un affluent de l’Aver prenant sa source dans les Malpentes. Même si les places centrales des deux villages sont éloignées, les deux bourgs sont suffisamment étendus pour se rejoindre. De plus ils se trouvent à proximité d’Oder Bipp, sur la route principale qui traverse le Moot du Nord au Sud.
Suite à l’invasion de 1707 il fut décidé de donner une orientation martiale à ces deux villages à l’emplacement stratégique avantageux. Les Halflings ont développé une petite milice afin de se défendre en cas de besoin et les camps d’entrainement dans lesquels tous se doivent au moins de passer quelque mois ont été établis entre Confie et Barlinton. La vie de ces deux villages est donc rythmée par les manœuvre militaires des conscrits.
et a mettre a la fin des villages
LES FORETS ET LES COLLINES DU MOOT
La forêt barbue
Ce bois sombre et calme qui s’étend au nord ouest du Mootland tire son nom d’une espèce mousse verdâtre, parfois grisâtre qui semble pousser le tronc des arbres et sur les rochers, et qui pend des branches telle la barbe d’un vieillard. C’est un phénomène assez curieux, et de prime abord on pourrait penser que cette foret a subis les effets pervers du chaos tellement son aspect peut paraitre repoussant. Qui s’enfonce plus profondément sous les frondaisons épaisses de la forêt découvrira un autre monde bercé par les piaillements et les sifflements des oiseaux et les cris des animaux qui y vivent. Mais surtout il prendra surtout conscience des étranges plantes et des diverses fleurs qui s’y sont développées, des arbustes et des vieux arbres qui semblent ployer sous le poids des ans. A n’importe quelle période de l’année l’air y est frais, chargé de milles senteurs, véhiculant un message mystiques et mystérieux. Une herbe épaisse tapis le sol de la forêt, malgré les faibles rayons de soleil qui arrivent a percé l’entrelac de branchage et de feuilles. Aucune brise ne vient troubler le repos des sous bois si ce n’est de temps a autre un étrange murmure, une litanie bruissante comme si un musicien jouait de mille instruments a vent. Les conteurs de la forêt disent que la forêt vous regarde de temps à temps, comme si des centaines d’yeux épiaient le moindre de vos mouvements, le geste le plus anodin. Curieusement, aucun feu ne peut tenir dans cette forêt et ceux qui s’y sont risqué vous le diront avec certitude : le bois de cette forêt ne peut pas bruler, ou plutôt ne veut pas. Les petits gens ne s’aventurent que très rarement dans ces sous bois, et lorsqu’ils s’enfoncent entre les vieux arbres a l’écorce moussue, c’est a la recherche de plantes médicinales, de remèdes, d’herbes aromatiques ou pour un rendez vous amoureux et secret. La forêt barbue tient une place prépondérante dans les contes et légendes du Mootland et nombreuses sont les histoires merveilleuses mais néanmoins frissonnantes qui y prennent source.
En fait, la forêt barbue sert de refuge à une petite mais solide communauté d’homme arbres. Ils vivent manifestement dans cette forêt depuis la période antique et a l’instar de leur rares semblables qui habitent de grandes forêt comme celle de Laurelorn ou du Reik, ils tendent a se faire de plus en plus discrets et à ne s’occuper que des affaires qui les concernent personnellement.
Mais il existe de nombreuse autre forêt dans le Moot, la trouée et la bordure qui contient de drole de pierre magique. Et la grande trouée borde le Mootland a son frontière est, et est la plus grande de tous, elle est le royaume des mystérieux elfe sylvains.
Les Malpentes
Il s’agit d’une zone située précisement dans le comté de Stirland, au Nord est du Mootland. C’est une terre vaste parcourue par des grandes collines et des terres envahies par des herbes folles. Plusieurs combats firent rages en ce lieu, durant ces sombre années qui virent se dechirer les grandes familles de l’empire en d’incessante guerre. Les dates ne manquent pas pour dénombrer les affrontements et les paysages s’en est d’ailleurs retrouvé changé. Car qui se promène un jour entre ces collines pourra apercevoir quelques vieux casques rouillés habités par un couple de musaraignes, ici des boucliers au blasons anciens ou encore des lames métalliques déformées qui dépassent d’un talus. On peut parfois y déchiffrer quelques armoiries comme celle du Stirland, de l’Averland et de clans nains. Un promeneur du soir ou un voyageur égaré pourra apercevoir sur les crêtes des collines au loin, des groupes déambuler, troupes se rendant au combat, accompagné par le hennissement des chevaux… C’est une région constamment balayée par les vents, donnant ainsi l’odeur de sang et de poussière, de sueur et de mort. Les petits gens du Moot ont plusieurs noms pour ces terres de désolation : Certains l’appellent les collines de sang ou la petite désolation, le nom le plus répandu restant les Malpentes.
Les collines du Ponant.
A l’ouest du Mootland, entre la forêt barbue au nord ouest, et la trouée au sud ouest, et par delà de Troumont et l’Ampoule s’étend un doux vallonnement que les petits gens ont nommé les collines du Ponant. C’est un paysage tout en rondeur, sans arbre ni haie ; seuls quelques tertres constituée de pierre jaunes s’amoncellent ça-et-là. L’herbe y est douce, aucun arbre ne vient cacher le paysage, et si l’on se dresse au sommet de la plus haute colline, on peut apercevoir la lisière de la grande trouée a l’est, et de l’autre coté du Mootland, et contempler les étendue herbeuses de l’ouest d’où montent quelques trainées de fumées. Durant le raid et la mise a sac de cette époque troublée, les hordes de gobelins et d’orques avaient installé leur campement au milieu de ce doux paysage, proche de la plus haute colline. Ce fut une guerre terrible, et surtout un massacre sans précédent pour les petits gens. Beaucoup perdirent leurs familles et tous leurs biens les plus chers. Les petits gens mirent des années à s’en remettre et depuis ces temps, les collines du Ponant sont restées presque inhabitée.
Le sémaphore halfling
A la demande de l’empire, les halflings ont érigé sur la plus haut colline du Ponant un sémaphore, l’une de ces nombreuses tours qui jalonnent l’empire et permettent ainsi d’acheminer des informations en les relayant fidèlement d’un sémaphore à l’autre jusqu'à son destinataire final bien plus vite et plus loin que ne le font les coursiers.
La sémaphore a été érigé en 2511 du calendrier impériale et fait partie des fiertés des habitants de Hauterrier. Comme tous les autres dans l’empires, il a été construit par deux engingneurs nains, aidés dans leur taches par « les architectes » les plus doués du Moot. Il à la même efficacité que ses cousin impériaux.
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plan du codex
Alors voila la plan du codex avec déjà les éléments que l'on a, je vais dans les grandes lignes volontairement:
I) Intro de Mathieu (celle juste corrigée par moi même)
https://mootland.forumpro.fr/le-codex-du-moot-f12/le-bureau-t170-15.htm
II) Histoire du Moot et chronologie
https://mootland.forumpro.fr/le-codex-du-moot-f12/le-bureau-t170-15.htm
III) Index géographique
https://mootland.forumpro.fr/le-codex-du-moot-f12/le-bureau-t170-15.htm
IV) Bestiaire du Moot
1) Règle spéciale du Moot
faut que je travaille dessus
2) Descriptif des unités
le travail de Mathieu
3) Perso spé, je sais pas encore?
V) Liste d'armée
ca déjà bien bien avancée
NOTA : Bien sur pour aérer, il faut pas hésiter a mettre nos petites nouvelles, illustration texte carte.. etc
CONCLUSION : Il faut qu'on travaille donc sur descriptif des unités, règle spé, je verrais bien aussi un descriptif anatomique gnome, et halflings, avec des vraiante de race style les halflings a grand pied, les gnomes des collines, des forets .. etc
et toujours plus de fluff lol
I) Intro de Mathieu (celle juste corrigée par moi même)
https://mootland.forumpro.fr/le-codex-du-moot-f12/le-bureau-t170-15.htm
II) Histoire du Moot et chronologie
https://mootland.forumpro.fr/le-codex-du-moot-f12/le-bureau-t170-15.htm
III) Index géographique
https://mootland.forumpro.fr/le-codex-du-moot-f12/le-bureau-t170-15.htm
IV) Bestiaire du Moot
1) Règle spéciale du Moot
faut que je travaille dessus
2) Descriptif des unités
le travail de Mathieu
3) Perso spé, je sais pas encore?
V) Liste d'armée
ca déjà bien bien avancée
NOTA : Bien sur pour aérer, il faut pas hésiter a mettre nos petites nouvelles, illustration texte carte.. etc
CONCLUSION : Il faut qu'on travaille donc sur descriptif des unités, règle spé, je verrais bien aussi un descriptif anatomique gnome, et halflings, avec des vraiante de race style les halflings a grand pied, les gnomes des collines, des forets .. etc
et toujours plus de fluff lol
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Re: Le bureau
LES CARREAUTEURS
Recrutés au sein des chasseurs les carreauteurs sont des halflings plus expérimentés capables de manipuler efficacement l’arbalète qui n’est pas une arme naturelle pour eux. La grande maitrise des artisans du Mootland leur à permis d’adapter cette arme à leur petite taille. Ils ont donc créé ce qu’ils nomment entre eux des carreautrices. Ce sont de petites arbalètes à leviers comportant un chargeur à carreaux monté sur le dessus. C’est une arme qui nécessite une connaissance de la mécanique du fait de son utilisation compliquée. En effet le soldat doit la tenir du bras droit et activer le levier du gauche. Mais son principe est simple, une fois le carreau tiré, un second vient automatiquement remplacer le premier et ainsi de suite jusqu’à ce que le magasin d’une dizaine de carreau soit vide. C’est une arme très efficace qui permet une cadence de tir impressionnante de l’ordre de dix traits en quinze secondes. . Le trait est court, mince, sans empennage et la pointe de fer à section carrée ou triangulaire est parfois empoisonnée pour compenser son faible pouvoir de pénétration.
LES LONGUES-VUES
Recrutés parmi les carreauteurs les longues-vues sont ceux qui ont la vue la plus perçante. Ils se voient confier des arquebuses, des armes à feu à la puissance et à la portée énormes. Cette unité citoyenne d’élite à l’habitude de faire des ravages dans le camp ennemie. Ils ont la réputation d’être superstitieux et arborent souvent des colliers fabriqués à partir d'œil de taupe sensé leur apporter chance et précision. L’arquebuse ou haquebute comme ils l’appellent parfois et un bijou de l’artisanat halfling. Ces armes sont malgré tout assez lourdes et encombrantes et son utilisées avec une sorte de fourche de métal (le fourquin) sur laquelle s’appuyer afin d’améliorer le visée et encaisser le recul. Leur portée est d’environ cent mètres et elles tirent des balles longues et denses qui ont un pouvoir perforant étonnant. Leur principal inconvénient vient du fait qu’il faut les recharger à chaque tir mais les soldats qui les manipulent sont des experts qui arrivent à garder une cadence de tir d’un projectile toute les quinze secondes.
Recrutés au sein des chasseurs les carreauteurs sont des halflings plus expérimentés capables de manipuler efficacement l’arbalète qui n’est pas une arme naturelle pour eux. La grande maitrise des artisans du Mootland leur à permis d’adapter cette arme à leur petite taille. Ils ont donc créé ce qu’ils nomment entre eux des carreautrices. Ce sont de petites arbalètes à leviers comportant un chargeur à carreaux monté sur le dessus. C’est une arme qui nécessite une connaissance de la mécanique du fait de son utilisation compliquée. En effet le soldat doit la tenir du bras droit et activer le levier du gauche. Mais son principe est simple, une fois le carreau tiré, un second vient automatiquement remplacer le premier et ainsi de suite jusqu’à ce que le magasin d’une dizaine de carreau soit vide. C’est une arme très efficace qui permet une cadence de tir impressionnante de l’ordre de dix traits en quinze secondes. . Le trait est court, mince, sans empennage et la pointe de fer à section carrée ou triangulaire est parfois empoisonnée pour compenser son faible pouvoir de pénétration.
LES LONGUES-VUES
Recrutés parmi les carreauteurs les longues-vues sont ceux qui ont la vue la plus perçante. Ils se voient confier des arquebuses, des armes à feu à la puissance et à la portée énormes. Cette unité citoyenne d’élite à l’habitude de faire des ravages dans le camp ennemie. Ils ont la réputation d’être superstitieux et arborent souvent des colliers fabriqués à partir d'œil de taupe sensé leur apporter chance et précision. L’arquebuse ou haquebute comme ils l’appellent parfois et un bijou de l’artisanat halfling. Ces armes sont malgré tout assez lourdes et encombrantes et son utilisées avec une sorte de fourche de métal (le fourquin) sur laquelle s’appuyer afin d’améliorer le visée et encaisser le recul. Leur portée est d’environ cent mètres et elles tirent des balles longues et denses qui ont un pouvoir perforant étonnant. Leur principal inconvénient vient du fait qu’il faut les recharger à chaque tir mais les soldats qui les manipulent sont des experts qui arrivent à garder une cadence de tir d’un projectile toute les quinze secondes.
Dernière édition par groniar le Lun 2 Mar - 16:40, édité 3 fois
Re: Le bureau
LES MILICES VILLAGEOISES.
Ces milices sont composées de petits groupes qui agissent en soutient des unités régimentaires. Composés d’un ensemble disparate de citoyens de tout bord on les retrouve au combat sur les flancs des unités plus importantes. Leur rôle varie selon l’aptitude de leurs éléments et les besoins tactiques ponctuels liés aux ennemis affrontés. Selon les cas ils manieront des arcs pour affaiblir les assaillants avant qu’ils ne se brisent sur les unités de couteliers ou alors des armes de corps à corps pour opérer de judicieuses contre-charges au moment opportun. Ainsi lorsque les cloches du beffroi sonnent l’alarme les citoyens faisant partie de la milice abandonnent toute affaire en cours pour prendre les armes et se rassembler en unités légères et mobiles qui harcèleront et affaibliront les envahisseurs. J’ai put assister à plusieurs exercices de ce type et il est clair que les milices villageoises sont capables d’être sur le pied de guerre en un temps record. C’est un spectacle saisissant que de voir se rassembler autant de halflings aux accoutrements colorés et dépareillés. La première idée qui vient à l’esprit est qu’un carnaval débute sur la place du village, entre eux ils s’appellent d’ailleurs les carnavaliers, les spécialistes du tir sont les farfadets et ceux qui se battent en combat rapproché sont appéles les korrigans. Mais il ne faut pas se fier à l’aspect burlesque de ces soldats qui sont d’une efficacité redoutable.
Ces milices sont composées de petits groupes qui agissent en soutient des unités régimentaires. Composés d’un ensemble disparate de citoyens de tout bord on les retrouve au combat sur les flancs des unités plus importantes. Leur rôle varie selon l’aptitude de leurs éléments et les besoins tactiques ponctuels liés aux ennemis affrontés. Selon les cas ils manieront des arcs pour affaiblir les assaillants avant qu’ils ne se brisent sur les unités de couteliers ou alors des armes de corps à corps pour opérer de judicieuses contre-charges au moment opportun. Ainsi lorsque les cloches du beffroi sonnent l’alarme les citoyens faisant partie de la milice abandonnent toute affaire en cours pour prendre les armes et se rassembler en unités légères et mobiles qui harcèleront et affaibliront les envahisseurs. J’ai put assister à plusieurs exercices de ce type et il est clair que les milices villageoises sont capables d’être sur le pied de guerre en un temps record. C’est un spectacle saisissant que de voir se rassembler autant de halflings aux accoutrements colorés et dépareillés. La première idée qui vient à l’esprit est qu’un carnaval débute sur la place du village, entre eux ils s’appellent d’ailleurs les carnavaliers, les spécialistes du tir sont les farfadets et ceux qui se battent en combat rapproché sont appéles les korrigans. Mais il ne faut pas se fier à l’aspect burlesque de ces soldats qui sont d’une efficacité redoutable.
Dernière édition par groniar le Mar 3 Mar - 19:12, édité 1 fois
Re: Le bureau
LES CHEVALIERS DU COCHON D’OR
Ces halflings sont de loin les plus téméraires de leur race, ils sont les seuls à se risquer à chevaucher les énormes cochons de guerres sélectionnés par les éleveurs porcheriers. Ces animaux sont choisit parmi les plus gros et les plus violent porcins et même si ils ne sont pas très rapides leur charge est quasiment impossible à arrêter du fait de leur poids. Les chevaliers du Moot ou plutôt les cochonniers respectent les serments de la chevalerie et ont jurés de protéger les faibles et les opprimés. Si les halflings sont des créatures casanières qui ne quittent que rarement leurs terres, ces intrépides chevaucheurs décident parfois de visiter l’Empire et ainsi apporter leur aide à quiconque en a besoin. Cela ne manque pas d’étrangler de rires les brigands qui croisent leur chemin avant qu’ils ne se retrouvent avec une lance fichée dans la gorge. C’est pourquoi les figures les plus connues outre-moot (hormis les cuisiniers) sont souvent des membres du cercle intérieur du cochon d’or comme le célèbre Pham et sa monture Pattanegra qui on arpenté les terres de l’Empire à maintes reprises. Je l'ai d'ailleurs rencontré et derriere son air malicieux c'est un guerrier chevaleresque qui mènes les cochoniers à la bataille d'une main de fer. J'ai déja vu ces cochons de combat charger , j'en ait encore les jambes qui tremblent comme le sol sous leur charge.
Ces halflings sont de loin les plus téméraires de leur race, ils sont les seuls à se risquer à chevaucher les énormes cochons de guerres sélectionnés par les éleveurs porcheriers. Ces animaux sont choisit parmi les plus gros et les plus violent porcins et même si ils ne sont pas très rapides leur charge est quasiment impossible à arrêter du fait de leur poids. Les chevaliers du Moot ou plutôt les cochonniers respectent les serments de la chevalerie et ont jurés de protéger les faibles et les opprimés. Si les halflings sont des créatures casanières qui ne quittent que rarement leurs terres, ces intrépides chevaucheurs décident parfois de visiter l’Empire et ainsi apporter leur aide à quiconque en a besoin. Cela ne manque pas d’étrangler de rires les brigands qui croisent leur chemin avant qu’ils ne se retrouvent avec une lance fichée dans la gorge. C’est pourquoi les figures les plus connues outre-moot (hormis les cuisiniers) sont souvent des membres du cercle intérieur du cochon d’or comme le célèbre Pham et sa monture Pattanegra qui on arpenté les terres de l’Empire à maintes reprises. Je l'ai d'ailleurs rencontré et derriere son air malicieux c'est un guerrier chevaleresque qui mènes les cochoniers à la bataille d'une main de fer. J'ai déja vu ces cochons de combat charger , j'en ait encore les jambes qui tremblent comme le sol sous leur charge.
Re: Le bureau
Mathieu j'ai grave créer mais il faut un fluff sur
Les Porcinets et les grand porcinets (pistolier et escorteur)
La taverne donc tous le culte de l'alcool et notamment sur les alamabik anomyme (flagelants)
pas oublier les alambik qui haissent les gens et les prieres
et sur les arme de destruction massive, lance cochon et lance marmitte
Les Porcinets et les grand porcinets (pistolier et escorteur)
La taverne donc tous le culte de l'alcool et notamment sur les alamabik anomyme (flagelants)
pas oublier les alambik qui haissent les gens et les prieres
et sur les arme de destruction massive, lance cochon et lance marmitte
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Re: Le bureau
arme de destruction massive c'est fait
tank à vapeur alias la mootmobile c'est fait!
la taverne c bientot fini!
tank à vapeur alias la mootmobile c'est fait!
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Re: Le bureau
bilan de ce soir me manque plus que la cavalerie legere et maintenant va falloir pondre de la nouvelle et le recit des héros du moot
mais il me manque de dessins
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Re: Le bureau
cavalerie légère c'est fait manque plus que des nouvelles de fluff.
au faite après moulte réflexion la cavalerie légère seront des centaures
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Re: Le bureau
des crêpes à la myrthille!
ou sinon des histoires sur les héros du Mootlandclan ou d'autre histoire et petit conte sur le moot, la vie de tous les jours.. etc
des petite nouvelles pour fluffiser ce codex
ou sinon des histoires sur les héros du Mootlandclan ou d'autre histoire et petit conte sur le moot, la vie de tous les jours.. etc
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